Je pars avec ma chère femme pour un mois (tout novembre) en Afrique australe. Namibie, Botswana et Zimbabwé... Je vous raconterai au retour si les hyènes et les léopards ne nous mangent pas.
Que le vaya bien ! JPB
Étincelles de bon sens et d'impertinence dans le fagot sec de la pensée "correcte" devenue obligatoire.
lundi 2 novembre 2015
mercredi 23 septembre 2015
Malheureux du monde entier ! Venez profiter des places de réfugiés politiques en Europe.
Les politiciens européens, docilement
soumis à l' influence de la Super Classe Mondiale, ont tranché et les
médias de la PLOUC (Pensée Légale Obligatoire Unique et Correcte)
sont entrés en action, grâce quelques images poignantes (parfois
« bidonnées ») et leurs dogmes idéologiques habituels.
La compassion humanitaire, dont les
"zélites" se gargarisent sans avoir à l’avaler, représente le
côté du Bien. La peur, qui est en fait une prudence stratégique
intuitive, est attribuée au bon peuple égoïste et frileux. C’est
le camp du Mal.
Les Européens, confrontés tous les
jours aux difficultés pratiques du « vivre ensemble »,
mus par le bon sens et peut être par un vague souvenir historique,
rechignent mais qu’importe, l’oligarchie en a décidé
autrement ! Après le délicieux frisson de l’émotionnel pour
le camp du Bien, quelques réalités de cette immigration-submersion
s’imposeront :
- A court terme, les vagues d’immigrants et les réserves de miséreux stockées en Libye et au Moyen-Orient dépasseront de loin, en nombre, toutes les invasions que l’Europe a combattues dans sa longue histoire. Ne croyez aucune évaluation faite par les politiciens. Ils sont complètement débordés, ne contrôlent absolument rien et tentent seulement de faire bonne figure. Ces chiffres n’ont aucun rapport avec la réalité. On entre chez nous sans frapper, en manifestant un mélange de souffrance et d’arrogance. L’immigration sauvage ne peut pas être « un peu » ; c’est tout ou rien.
- La nette prédominance d’hommes jeunes parmi les clandestins est évidente. Le regroupement familial égalisera ultérieurement la répartition. Des "chances pour la France"? A voir ! Ils pourraient essayer de résoudre les difficultés de leurs pays et s'engager dans un des multiples groupes qui s’affrontent en Irak, en Syrie, en Libye ou bientôt au Maghreb. Au courage, ils préfèrent une fuite (parfois dangereuse) vers des paradis artificiellement idéalisés.
- Beaucoup d’organisations dites humanitaires aident ces immigrants clandestins à tromper les autorités qui les recueillent et à tourner les règles édictées par les européens. A les croire, toute l’Afrique et le Moyen-Orient seraient peuplés de "Syriens de papiers"grâce à de faux passeports ! L’Eglise catholique est même allée de son couplet, charitable et irénique.
- Surtout, à long terme, cette immigration clandestine est incompatible avec nos lois, nos traditions et notre culture Tous ces clandestins, ou presque, sont musulmans. Voilà le fond du problème. Le pourcentage de la population musulmane dans une société dicte le niveau de revendication ethnico-religieuse qu’elle impose peu à peu aux autres. Ces immigrants clandestins contribueront à augmenter la masse de manœuvre, passive mais malléable, qui est déjà en place.
- Cette invasion-submersion, amplifiée en septembre 2015, inflige à l’Union Européenne une grave blessure. Il n’y a plus d’union dans l’Espace Schengen. L’Europe en mourra t elle ? Pas tout de suite, mais doucement, d'incohérence et d’inconséquence. Elle est trop bonne, trop « nunuche », trop gentille, trop accueillante, trop idéaliste, bref, trop socialiste dans un monde cupide et hostile encore mené par la loi de la jungle : le plus fort gagne.
lundi 24 août 2015
Championnat du monde de l’hypocrisie et de l’idéologie sectaire : triomphe français.
Le Gouvernement actuel de la République
mérite le mépris des Français. Mais une mention spéciale de
répulsion doit être attribuée à trois individus particulièrement
funestes. Taubira, Belkacem et Cazeneuve.
Dans les Championnats mondiaux de
l’hypocrisie, leurs performances récentes ont donné à la France
un podium complet dans la catégorie idéologie sectaire et haineuse.
Leurs élucubrations abstraites ont été primées par le jury pour
leur imperméabilité absolue à la réalité et pour leur
persistance dans la forfaiture. L’actualité nous impose de nous
focaliser sur le sinistre Cazeneuve.
Un marocain armé jusqu’aux dents
entreprend de mitrailler les passagers d’un TGV et Cazeneuve,
Ministre de l’intérieur !, quelques heures après, se demande
encore s’il s’agit d’un attentat terroriste islamique !
Ce franc-maçon ne peut pas assurer la sécurité des Français
devant le fléau terroriste islamique (ce qui prouve son
incapacité donc son incompétence), mais il persiste à aider la progression de l’islam
en France (ce qui atteste de sa perversion idéologique). Il fait
semblant de contrôler, de freiner l’immigration folle actuelle,
mais il a été convaincu, comme tout le Gouvernement, que l’Europe
avait besoin de ce torrent d’immigration illégale. Alors,
débordé, il laisse faire ou pire il accentue le mouvement. Ne
pouvant empêcher le terrorisme islamique, il tente de le banaliser :
« ce n’est pas si grave ! Ce sont des déséquilibrés
et puis nous avons déjoué beaucoup d’attentats… ».
La SNCF va créer un numéro vert pour
rassurer les passagers !! Soyez tranquilles !
La Commission Européenne, sourde à la
vox populi, veut instaurer des quotas pour l’immigration illégale,
ce qui l’officialisera et l’amplifiera.
Les ONG spécialisées, et financées par l'Etat, dans l’aide
aux migrants se frottent les mains. Le travail ne manquera pas.
Le grand patronnat tient lui aussi
beaucoup à cette immigration incontrôlée car elle tire les
salaires vers le bas.
Le Parti Socialiste voit se développer son
nouvel électorat.
Les médias rivalisent de bienveillance
verbale vis-à-vis de cette immigration illégale. Les termes
utilisés sont révélateurs du déripage vers la mansuétude :
immigrés illégaux, clandestins, sans papier… jusqu’à la
trouvaille sémantique de « migrants ». En attendant le
prochain : « frères dans le malheur »…
Les Américains, qui ne manquent jamais
une occasion de démolir l’Europe, nous font la leçon de morale :
humanité et partage, alors qu’ils sont en train de construire un
mur entre le Mexique et eux.
Seuls, à l’autre bout du monde, les
Australiens résistent avec succès.
A l’évidence, tout ce beau monde
nous trompe, nous les gueux, nous la couche moyenne qui sombre dans
la pauvreté, nous les oubliés de la France d’en bas. La Super
Classe Mondiale (SCM) a décidé, contre la volonté des peuples
installés, d’amplifier le mélange ethnique en Europe. Elle est
puissante et s’acharne à renforcer le communautarisme religieux en
Europe. Les exécutants nationaux la servent, obéissent et nous serinent :
« on vous dit que c’est bon pour vous, bande de crétins ! »
C’est pour cela qu’il faut lire le
livre que je viens de publier aux Editions Via Romana :
« Peut-on réenchanter la France ? ». Tout y est
très clairement expliqué, mais pas de manière très politiquement
correcte. Aujourd’hui il faut ouvrir cet ouvrage à la page 28.
jeudi 20 août 2015
Réflexions de vacances.
Au risque d’être accusé d’IOO et
de DCR (infraction à l’onirisme obligatoire et délit de
constatation de la réalité*), j’affirme que l’Europe est en
déclin depuis un siècle. Avant 1914 elle dominait encore le
monde et en 2015 elle ne contrôle plus rien. lL'Union Européenne
fait pitié. La France était un des piliers de l’Union Européenne…
Mais il y a encore de beaux restes
(intellectuels, culturels, artistiques…art de vivre) et, comme le
suggère Jean Raspail, il faudra bien des gardiens des ruines. Je
postule ! Jouir de ce qui reste doit être notre préoccupation
permanente. Profitons-en puisque les historiens nous enseignent que
les périodes de décadence ont toujours été les plus agréables à
vivre. Mais combien vont-elles durer avant l'explosion finale ? Jouissons, certes, mais avec quelques entraves morales,
qui ont fait la dignité de l’espèce humaine. Il faut des limites
à tout quoi qu’en pensent les mondialistes.
A nous de trouver les proportions
d’un mélange harmonieux d’adaptation au progrès véritable et
de résistance aux conneries encensées par la PLOUC**, sans être
ni amer ni nostalgique ! Difficile ! Carpe diem !
Par contre, ricaner des
incohérences, hypocrisies, inepties et absurdités de la société française,
menée par l’incompétence « idéologisée » et
emportée par le mondialisme est un devoir de salut public.
« Il n’y a rien que
comprenne mieux un homme intelligent qu’un coup de pied au cul. »
Clémenceau, surnommé « le tigre ».
Ne pouvant leur botter physiquement les fesses, il
faut glisser intellectuellement des grains de sable dans les chaussures de ceux qui
poussent notre société vers l’abîme.
Cela a peu de chances de modifier
l’évolution du pays, mais l’acharnement thérapeutique des
politiciens pour prolonger le SPSP (système politico-social
providence) moribond, ne pourra, lui, que retarder l’échéance. La
sphère politique aux affaires est faible et manipulée, le pouvoir
des juges est devenu exorbitant, les médias dévoyés publient
toutes les conneries imaginables pour vendre, la PLOUC est devenue
liberticide, la prolifération tentaculaire de l’administration
étouffe l’inventivité et la nounou sociétale qu’on nous impose
voudrait s’occuper du reste. L’opposition patauge entre la
tentative de retour d’un Toto*** usé, sans conviction pour le
pays, et un FN qui s’offre un grand vertige à gauche sur la piste
Philippot.Varoufakis doit bien rire !
Mauvaise limonade ! Comme on dit à
Marseille, avant de reservir le pastis.
Pourquoi ne pas proposer des
solutions radicales ?
A côté des grandes institutions
généreusement payées pour faire fonction de « think tank »,
lançons un réservoir d’idées novatrices qui pourraient devenir
les traitement curatifs de nos maladies sociales, quand tout ira
vraiment très mal. Les décisions politiques sont le fruit d’une
lente sédimentation mentale dans le prudent cerveau de nos
politiciens. C’est bon pour moi ou non ? Voila la principale
question qu’ils se posent.La CGT exigeait la préférence nationale
en 1935 et maintenant elle est violemment contre ! Peu à peu
les choses finissent par changer. Lentement.
Alors accélérons !
Bousculons les conventions sociales ! Vous allez voir apparaître
sur ce blogue la rubrique ALH (A la hussard) pour envisager au
fil du temps ce qu’il faudra bien faire un jour ! Un jour ou
l’autre le système actuel explosera et ce qui existera à côté
prendra sa place. Construisons sereinement, en parallèle, d’autres
voies théoriques, abstraites, intellectuelles ou réelles,
pragmatiques et pratiques.
Pour terminer ces réflexions d’été,
je voudrais encourager mes lecteurs à réagir, à commenter en bien
ou en mal, de façon incisive, les articles de ce blogue. Parlez-moi,
bordel !
* Expressions lancées par
Philippe Muray !
** Pensée Légale
Obligatoire Unique et correcte.
***Sarkozy
ressemble de plus en plus avec ses tics au célèbre acteur
napolitain Toto.
mercredi 5 août 2015
Foutez la paix à Vincent Lambert !
Permettez, estimé lecteur, au vieux
médecin que je suis de rugir de colère médicale, de ricaner de
l’incohérence sociale et de pleurer de honte morale.
Le sort de ce jeune homme est
suffisamment triste sans que l’interminable feuilleton
médiatico-judiciaire ne rajoute de l’ignoble à son histoire
clinique. Des agents d’influence à la solde d’idéologies, de
juges qui ne connaissent rien à la médecine, à des journalistes
avides de scandale et de sang, en passant par des « médecins »
dont l’éthique est pour le moins dévoyée, sa famille aura tout
connu.
Maintenant, hypocrites de tous
bords, foutez la paix à ce grave blessé !
La victime expiatoire ne veut pas
mourir ; elle n’est pas en fin de vie.
Elle n’entre pas clairement dans le cadre de
lois civiles actuellement en vigueur. Le bouc émissaire résiste. Il
survit depuis près de sept ans sans besoin autre que boire, manger
et voir assurés quelques soins d’hygiène. Rien ne laisse présager
d’une mort spontanée prochaine. Vincent est privé de la motricité
de ses membres et a perdu la plus grande partie de sa conscience,
mais si la société se met à abattre tous les tétraplégiques et
ceux qui n’ont plus tous leurs sens, il y aura du travail !
Pour ce faire, il faudra d'ailleurs créer une nouvelle profession car les
médecins, respectueux du Serment d’Hippocrate, ne s’en
chargeront pas.
Faire mourir de soif et de faim un être
humain affaibli, dans un pays qui a aboli la peine de mort pour les
assassins, les meurtriers, les terroristes…( mais pas encore pour
leurs victimes), confine au sadisme. C’est long et c’est
affreux ! Si vous pensez, idéologues infernaux, qu’il faut
tuer Vincent et que la justice moderne vous en donne le droit, ayez
au moins le courage de vos convictions, chers confrères du CHU de
Reims, au lieu de le retenir prisonnier, injectez lui du potassium en
intra-veineux pour en finir vite.
Il coûte cher à la société ?
S’il n’y avait que lui ! Avant de vous draper dans la bien
« pensance » citoyenne, songez seulement, chers
confrères, aux millions d’euros de fraude sociale et médicale que
notre société tolère par ailleurs avec bienveillance.
Sa famille est divisée ? Oui !
Sa femme a refait sa vie en Belgique mais ses parents sont prêts à
le transférer dans un centre qui peut et veut s’en occuper
dignement. Laissez-les faire ! Laissez-le partir vivant !
Vous n’êtes pas propriétaires du malade, chers confrères du CHU
de Reims. Aucune « valeur républicaine » ne peut
justifier votre comportement.
Finalement tout pourrait être
simple. Le « lobi euthanazi » qui réclame sa mort s’est
trompé d’indication. Il n’a pas choisi un « bon »
candidat pour faire progresser son idéologie mortifère dans
l’opinion publique. Le bon sens commun ne veut pas suivre !
C’est tout, estimé lecteur ! Il suffirait… que ces agents
d’influence reconnaissent leur faute et qu’ils changent d’avis
pour que tout soit simple. Mais cette marche arrière intellectuelle
logique est impossible à des idéologues convaincus et bornés.
mercredi 29 juillet 2015
Alerte ! Alerte ! Ils ont osé !
Que le peuple sorte de sa léthargie estivale ! Qu’il gronde furieusement et harcèle ses représentants félons ! Jusqu’au retrait de cette autorisation méphitique et scélérate !
Sur les ondes de Radio Courtoisie, d’habitude média sérieux et fiable, pendant l’émission de Martial Bild, mercredi soir un des invités a annoncé que nos députés avaient voté dans l’indifférence complice de nos grands médias, une loi autorisant le gouvernement de la République à prélever, en cas de besoin ou de crise financière, jusqu’à dix pour cent des montants disponibles sur les comptes en banques des Français.
Les autorités publiques, dont tout le monde connaît l’honnêteté, seraient ainsi autorisées à mettre la main directement sur des fonds privés.
Pour mémoire la dette publique française c’est-à-dire contractée par des organismes publics nationaux a dépassé les deux trillions (deux mille milliards d’euros). C’est dire les qualités de gestionnaires des agents de l’Etat et notamment des Ministres, du premier d’entre eux et du Président de la République.
Attention ! Faire les poches des citoyens ne serait permis que dans certaines conditions bien précises, comme la chasse. Pas de braconnage ! Ce méfait ne pourrait avoir lieu qu’en cas de crise grave ! Mais la crise est déjà là depuis 2008 et elle prend même des allures de véritable dépression structurelle économique et sociale. L’acharnement mis par les politiciens européens pour éviter, pour des raisons politiques, la sortie immédiate de la Grèce de la zone euro laisse penser que les difficultés financières de ce pays réapparaîtront bientôt. Le coquet cadeau financier qui a été nécessaire ne devrait pas diminuer la dette des pays prêteurs, dont la France.
Le pillage du bon peuple se faisait d’habitude par des manipulations monétaires et notamment des dévaluations. Mais avec l’euro on est passé de la malveillance au véritable attentat contre le peuple. Depuis les explosions sur l’étang de Berre, on ne sait plus trop la différence ! Ce coup pendable a déjà été fait à Chypre, il y a quelques mois. Les gouvernants chypriotes s’étaient défendus en disant que beaucoup des comptes pillés appartenaient à des Russes (sous entendu, malignement et sans aucune preuve, que c’était de l’argent sale ou volé). La recette était dans l’air en France depuis quelque temps, on en parlait sur le mode plaisant, on le disait impossible chez nous. Mais, si ce sale coup est avéré, le peuple pour une fois uni doit exiger une commission d’enquête pour savoir qui a voté cette loi inique, qui a voté contre, quelle est la position des partis politiques sur ce vol éhonté et finalement imposer la démission des responsables coupables. Il faut abroger cette loi sous les huées du peuple.
Ne laissons jamais l’Etat mettre ses doigts crochus et ses mains sales dans nos poches. Jamais ! Jamais !
Sur les ondes de Radio Courtoisie, d’habitude média sérieux et fiable, pendant l’émission de Martial Bild, mercredi soir un des invités a annoncé que nos députés avaient voté dans l’indifférence complice de nos grands médias, une loi autorisant le gouvernement de la République à prélever, en cas de besoin ou de crise financière, jusqu’à dix pour cent des montants disponibles sur les comptes en banques des Français.
Les autorités publiques, dont tout le monde connaît l’honnêteté, seraient ainsi autorisées à mettre la main directement sur des fonds privés.
Pour mémoire la dette publique française c’est-à-dire contractée par des organismes publics nationaux a dépassé les deux trillions (deux mille milliards d’euros). C’est dire les qualités de gestionnaires des agents de l’Etat et notamment des Ministres, du premier d’entre eux et du Président de la République.
Attention ! Faire les poches des citoyens ne serait permis que dans certaines conditions bien précises, comme la chasse. Pas de braconnage ! Ce méfait ne pourrait avoir lieu qu’en cas de crise grave ! Mais la crise est déjà là depuis 2008 et elle prend même des allures de véritable dépression structurelle économique et sociale. L’acharnement mis par les politiciens européens pour éviter, pour des raisons politiques, la sortie immédiate de la Grèce de la zone euro laisse penser que les difficultés financières de ce pays réapparaîtront bientôt. Le coquet cadeau financier qui a été nécessaire ne devrait pas diminuer la dette des pays prêteurs, dont la France.
Le pillage du bon peuple se faisait d’habitude par des manipulations monétaires et notamment des dévaluations. Mais avec l’euro on est passé de la malveillance au véritable attentat contre le peuple. Depuis les explosions sur l’étang de Berre, on ne sait plus trop la différence ! Ce coup pendable a déjà été fait à Chypre, il y a quelques mois. Les gouvernants chypriotes s’étaient défendus en disant que beaucoup des comptes pillés appartenaient à des Russes (sous entendu, malignement et sans aucune preuve, que c’était de l’argent sale ou volé). La recette était dans l’air en France depuis quelque temps, on en parlait sur le mode plaisant, on le disait impossible chez nous. Mais, si ce sale coup est avéré, le peuple pour une fois uni doit exiger une commission d’enquête pour savoir qui a voté cette loi inique, qui a voté contre, quelle est la position des partis politiques sur ce vol éhonté et finalement imposer la démission des responsables coupables. Il faut abroger cette loi sous les huées du peuple.
Ne laissons jamais l’Etat mettre ses doigts crochus et ses mains sales dans nos poches. Jamais ! Jamais !
jeudi 23 juillet 2015
Attention à la colère de Zeus !
Dernières bonnes feuilles de "Peut-on réenchanter la France ?" publié chez Via Romana et qu'il ne vous reste plus qu'à acheter pour lire la suite !
Ne nous dissimulons pas que nous vivons
actuellement dans une France déboussolée, économiquement
fatiguée, psychologiquement fragile et surtout moralement dérégulée.
Un battement d’aile de papillon peut
entraîner un typhon à l’autre bout du monde stipule la théorie
mathématique du chaos. Nous l’avons vérifié expérimentalement
après mai 68 !
Quant on pense que ces évènements ont
été déclenchés, à Nanterre, par le désir manifesté par
quelques garçons de pouvoir accéder aux dortoirs des filles et que
l’on constate aujourd’hui le bouleversement social et le désert
moral que cela a créé dans le pays, on est abasourdi.
Par orgueil prométhéen, nous avons
laissé s’installer une grave crise morale, qui entraîne un
laxisme généralisé et un vide spirituel. L’ordre moral faisait
peur aux libertins qui l’ont détruit. Les attaques répétées
sur les valeurs traditionnelles, sur l’autorité nécessaire, sur
les règles civiques, sur les piliers moraux de la société (que les
« hussards noirs », ces instituteurs laïques de jadis,
expliquaient et enseignaient scrupuleusement aux enfants) ont
engendré un déficit grave et durable de morale dans notre société.
Peu à peu toute la structure spirituelle, morale et religieuse, puis
culturelle, intellectuelle et comportementale du pays a été
ébranlée et toute l’architecture sociale s’est fragilisée dans
un brouhaha cacophonique pour devenir instable et dangereuse.
On ne peut pas imaginer qu’un héros
de la mythologie grecque puisse survivre quelques minutes dans le
monde contemporain A l’évidence, il s’émerveillerait du
progrès technique et du confort matériel ambiant mais il serait
surpris que la sécurité des personnes et des biens ne soit plus
assurée dans les villes, que les attaques soient lâches et dirigées
sur les faibles et surtout il serait asphyxié dans notre atmosphère
sans courage, sans héroïsme, sans honneur, sans dignité, sans
fierté, sans le moindre respect du travail de nos ancêtres, sans
interventions divines…intempestives. Il trouverait notre monde
petit, mesquin, sans ambition, fade et désespérant.
Phèdre ou Ajax ne se seraient jamais
suicidés à notre époque. Ils auraient seulement plaidé coupables
et, avec un bon avocat, s’en seraient tirés, grâce à la
contrainte pénale, avec quelques mois de travaux d’intérêt
général !
Aucune société n’a pu vivre
harmonieusement sans principes, sans mythes fondateurs, sans
légendes, sans racine, sans une identité qui se dégage au fil des
générations, sans quelques garde-fous moraux et sans une autorité
fondée sur le savoir ! Aucune société ne peut vivre longtemps
sans enthousiasme, sans élan créateur, sans ambition autre que de
voir des matchs de foutbol. Ce n’est pas l’ersatz de « religion
démocratique, séculaire, autoritaire et universaliste »,
proposé par la Super Classe Mondiale et relayé en France par le
révolutionnaire Peillon, qui va y arriver. Les indignations
sélectives, la cupidité, l’égoïsme des zélites ainsi que la
jungle de règlements, de lois liberticides et de fêtes de
commémoration d’évènements soigneusement choisis disqualifient
notre système politique et social actuel pour réenchanter le moral
des Français. Les tragédies grecques proposaient mieux aux citoyens
libres d’Athènes et suscitent toujours beaucoup d’intérêt
vingt cinq siècles plus tard.
Par contre, il y a peu de chances que
l’on se souvienne encore de Hollande ou de Sarkozy dans 2500 ans,
mais ne mettons pas tout sur le dos de nos zélites défaillantes.
Nous, le peuple de France, sommes aussi
responsables de ce qui nous arrive et devrons changer beaucoup en
nous pour espérer un renouveau national.
Permettez-moi, estimé lecteur, de me
répéter pour conclure sur notre nécessaire changement intrinsèque.
Il est inutile de se dissimuler derrière des boucs émissaires. On a
les dirigeants que l’on mérite puisqu’on les choisit. Chacun
d’entre nous est devenu réticent à l’égard de toute réforme
qui pourrait le concerner ; des syndicats squelettiques
résistent à toute amélioration dès qu’elle touche aux
avantages acquis ; la France est devenue maintenant
ingouvernable et irréformable. Le renouveau ne peut venir que des
entrailles du peuple au prix d’un effort considérable de
changement et d’une chirurgie réparatrice des structures sociales.
Mais nos générations sont
progressivement devenues jouisseuses, individualistes et
relativistes. Elles ont manifesté une tolérance béate pendant
longtemps pour tout ce qui nous était étranger en oubliant notre
passé pourtant exceptionnel et même en le critiquant
outrageusement. L’histoire nous jugera comme des faibles, des
repentants, des consentants à la culpabilité, des vaincus, des
« lousers » !
Puis la cupidité, la perte du goût de
l’effort et l’égoïsme matérialiste ont pris le dessus et nous
n’avons fait preuve ni de courage, ni d’esprit critique, ni de
volonté. Nous n’avons manifesté aucune clairvoyance quand nous
nous vautrions dans le confort matériel et la surconsommation.
Nous avons laissé faire avec
indifférence.
Nous avons profité, sans nous en
rendre compte, d’avantages que nous devions au travail et aux
principes moraux de nos prédécesseurs, nos ancêtres, et que nous
n’avons su ni conserver, ni transmettre à notre rare descendance.
Espérons que nos jeunes pousses relèveront l’immense défi que
nous leur laissons et qu’ils éviteront de devenir ce que
redoutait Tocqueville : « une foule innombrable
d’hommes semblables et égaux qui tournent sans repos sur eux-mêmes
pour se procurer de petits et vulgaires plaisirs dont ils emplissent
leur âme. »
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