Je crois que ce schéma est assez démonstratif des difficultés que peut créer une monnaie unique pour des pays européens dont les industries sont si différentes.
Les brillantes théories idéalistes sont souvent malmenées par la réalité!
Dans les six premiers mois de l'année 2014, nous entendrons sûrement reparler de la crise de l'euro.
Étincelles de bon sens et d'impertinence dans le fagot sec de la pensée "correcte" devenue obligatoire.
lundi 16 décembre 2013
vendredi 13 décembre 2013
Petit entrefilet trouvé dans Présent ( quotidien de la droite nationale).
Le cabinet israëlien a approuvé dimanche une série de mesures destinées à expulser des milliers d'Africains entrés clandestinement dans le pays, selon un communiqué du bureau du Premier Ministre Benjamin Netanyahu. Il s'agit notamment de "réduire la présence d'immigrés dans les centre-villes";
"Ces mesures que nous avons approuvées à l'unanimité sont proportionnées et nécessaires pour maintenir le caractère juif et démocratique de l'Etat" assure le communiqué.
Je ne ferai aucun commentaire.
Entrefilet remarqué dans "Faits et Documents"n° 367 d'Emmanuel Ratier.
L'Arabie Saoudite compte huit millions de travailleurs immigrés, dont quatre millions sont des clandestins. 200 000 avaient été expulsés de janvier à mars 2013, 180 000 de plus en avril. Début juin2013, le roi Abdallah Ben Abdelaziz al-Saoud leur avait donné trois mois pour se mettre en règle. Depuis début novembre, les Ministères du Travail et de l'Intérieur ont commencé à en expulser un million, chiffre qui devrait être atteint d'ici la fin de l'année 2013. Les contrevenants risquent une peine de deux ans de prison et une amende de 20 000 €.
Je ne ferai ici encore aucun commentaire sur le fond.
Permettez-moi néanmoins de constater que la grande presse de notre pays, qui se veut la Patrie de la liberté ( d'information ?), n'a jamais évoqué ces actions de nettoyage ethnique dans des pays influents de la communauté internationale.
La PLOUC (Pensée Légale Obligatoire Unique et Conforme) a bien fait son travail.
La vérité en souffre.
samedi 30 novembre 2013
Estimé lecteur de ce blogue,
La dette ou plutôt la somme des
dettes que notre Etat pléthorique et providence continue de s'accumuler et atteindra au début de l'année 2014 : 2000 milliards d'euros, soit deux trillions d'euros,c'est plus léger !
La forme de la courbe est
impressionante, surtout si on la prolonge jusqu'en 2014. Même en restant ""dans les clous de Bruxelles, on
continue à augmenter la dette puisque on aurait 3% de déficit
annuel. Ce déficit impressionnant existe dans de nombreux pays occidentaux. Aucun etat ne pourra la payer, donc il faudra recourir à des
expédients.
1)Raquet fiscal
2)Inflation
3)Faillite acceptée , sortie de l’euro
et dévaluation de la nouvelle monnaie. Arrangements avec les
créditeurs ;
4)Continuer à s’endetter mais cela
veut dire perdre progressivement sa liberté de manoeuvre (cad sa souveraineté pour un Etat) pendant que l'on attendra avec angoisse l'explosion inéluctable du Système Politico-Social Occidental.
L'affaire est grave, estimé lecteur, et il faudra choisir une solution ou peut être en associer plusieurs parce qu'il est à peu près certain que la crise de l'euro va refaire son apparition dans les premiers mois de 2014. Les taux vont surement monter.
"Mauvaise limonade", comme on dit à Marseille !
"Laissons rouler le bon temps", comme on dit à La Nouvelle Orléans.
jeudi 28 novembre 2013
Le consensus.
Le consensus est très à la mode, "très tendance" pour parler comme les bobos, souvent utilisé dans les compte-rendus de réunions politiques.
Cela donne l'impression d'une décision prise en commun après débat ouvert à toutes les personnes concernées. Le consensus fleure bon la démocratie !
Il n'a cependant d'intérêt que lorsqu'une solution a été retenue pour décider "où l'on place le curseur" pour satisfaire la moyenne des opinions.
Lorsque plusieurs éventualités restent en discussion, comme sur le dessin humoristique ci-dessus, recourir au consensus devient stupide. Le Président de séance élimine alors les idées qui ne lui agréent pas, notamment celles des extrêmes, et prétend avoir obtenu un consensus.
Vous venez d'assister à une 3M (Manipulation Mentale (de Masse, si elle est reprise par les médias.))
Le consensus est très à la mode, "très tendance" pour parler comme les bobos, souvent utilisé dans les compte-rendus de réunions politiques.
Cela donne l'impression d'une décision prise en commun après débat ouvert à toutes les personnes concernées. Le consensus fleure bon la démocratie !
Il n'a cependant d'intérêt que lorsqu'une solution a été retenue pour décider "où l'on place le curseur" pour satisfaire la moyenne des opinions.
Lorsque plusieurs éventualités restent en discussion, comme sur le dessin humoristique ci-dessus, recourir au consensus devient stupide. Le Président de séance élimine alors les idées qui ne lui agréent pas, notamment celles des extrêmes, et prétend avoir obtenu un consensus.
Vous venez d'assister à une 3M (Manipulation Mentale (de Masse, si elle est reprise par les médias.))
lundi 25 novembre 2013
Estimé lecteur de ce blogue,
Après mûre réflexion sur l'utilité de publier des opinions supposées intelligentes sur le net, je me suis dit qu'il fallait changer de style, sinon de mode de vie ou de pensée !
Cette photo des années 60 vous redonnera peut être la nostalgie de vos vingt ans ?
Un peu d'air frais dans la pétaudière actuelle. A très bientôt pour la suite des évènements. JPB
vendredi 18 octobre 2013
Du débat politique brillant à l’insulte vulgaire : la décivilisation s’accentue.
Depuis 1881, une loi protégeait la
liberté d’expression notamment dans la presse. Elle avait supprimé
toute autorisation préalable et tout délit d’opinion. Elle ne
sanctionnait que trois abus : la provocation au crime, la
diffamation et l’injure.
Cette liberté, jugée adéquate
pendant près d’un siècle, a été rognée par des amendements
successifs : loi Pleven (juillet 72), puis Gayssot-Rocard
(juillet 90) qui voulaient surtout décourager la remise en question
de dogmes historiques considérés comme définitivement établis et
intangibles. De nombreux historiens se sont élevés contre ces
textes de loi, mais sans grande efficacité.
Depuis 2003, une avalanche de nouvelles
lois (3 février 2003, 18 mars 2003, 9 mars 2004 et 21 décembre
2004) s’est attachée à punir tout propos, qui pourrait être
considéré, explicitement ou implicitement, comme misogyne,
homophobe, raciste, sexiste, anti-sémite… ainsi que leur promotion
médiatique ou institutionnelle, directe ou indirecte. Cela fait
beaucoup !
Plus tard encore, la création de la
HALDE (Haute Autorité de Lutte contre les Discriminations et pour
l’Egalité) a renforcé les peines encourues pour apologie d’une
quelconque préférence nationale, régionale ou familiale, pour
toute discrimination ou pour révision de l’historiquement correct.
Le pouvoir n’est pas particulièrement
fier de cet arsenal juridique, mais il laisse faire, sans vergogne,
des officines politiques subventionnées qui attaquent
systématiquement en justice tout contrevenant avec l’espoir de
ruiner financièrement les récalcitrants.
L’obnubilation de l’anti-racisme,
de l’anti-révisionnisme, de l’anti-sexisme, de
l’anti-anti-sémitisme, de l’homophilie a engendré une kyrielle
de lois qui interdisent tout débat sous prétexte de ne pas offenser
l’Autre ou l’Histoire établie.
Peu de gens connaissent ces multiples
lois françaises qui restreignent la liberté d’expression, dans le
domaine public bien sûr mais aussi dans la sphère privée. Les
médias politiquement corrects ne les évoquent jamais car ils ne se
sentent en rien menacés. Il faut donc parler de ces lois honteuses,
liberticides et scélérates.
Pourtant, malgré cet arsenal
judiciaire de destruction massive, deux femmes politiques (Nadine
Morano et Marion Maréchal-Le Pen) viennent d’être traitées
publiquement de salopes et de connasses. L’une par un prétendu
humoriste et l’autre par un vulgaire attaché parlementaire.
La première a porté plainte contre
l’humoriste et la justice dira si la prétention d’humour permet
ou n on de s’exonérer de la loi. La seconde, plus fine, se défend toute
seule et met le Parti socialiste en porte à faux en évoquant un
deux poids et deux mesures en fonction de l’appartenance politique
de l’insultée. Un caquetage lors d’un discours étant considéré comme plus
insultant que les termes de "salope et connasses".
Soyons simples :
A mon avis, l'humour (le vrai) n’a jamais justifié
l’injure. Donc condamnation nécessaire de l’histrion.
Double condamnation pour le valet
sénatorial qui ne sachant argumenter insulte bassement une jeune
femme que tout rend sympathique et avilit ainsi la fonction
parlementaire.Les politicards doivent donner l'exemple.
Triple condamnation morale pour
l’employeur du minable mal élevé (JP Michel, sénateur socialiste mais d'extrême gauche) qui a osé dire un jour : « Le
fondement du juste est le rapport de force ». La loi de la
jungle n’est pas loin.
Les injures à connotation raciale destinées à Mme Taubira sont tout aussi insupportables que les insultes telles que "salopes et connasses".
Revenons à la loi de 1881, appliquons la fermement et supprimons les lois scélérates. Nos politiciens doivent comprendre que l'important est de faire face à une dépresssion industrielle structurelle et non pas seulement une "crise"conjoncturelle, qu'ils en cherchent les causes et qu'il les corrigent. Quand la misère s'abat sur le peuple, il est difficile de lui faire manifester de la sympathie pour ce que la gauche appelle les "valeurs de la République".
Revenons à la loi de 1881, appliquons la fermement et supprimons les lois scélérates. Nos politiciens doivent comprendre que l'important est de faire face à une dépresssion industrielle structurelle et non pas seulement une "crise"conjoncturelle, qu'ils en cherchent les causes et qu'il les corrigent. Quand la misère s'abat sur le peuple, il est difficile de lui faire manifester de la sympathie pour ce que la gauche appelle les "valeurs de la République".
mardi 8 octobre 2013
Chose promise, chose dûe !
Voici deux citations un peu longues mais révélatrices de l'évolution des politiciens français.
"J'appartenais en 1958 au Centre National des Indépendants et Paysans d'Antoine Pinay. J'étais au centre droit. Je défendais les mêmes idées que maintenant. Ce n'est pas moi qui me suis déporté vers l'extrême droite, c'est le corps politique français qui s'est déplacé vers la gauche." Jean-Marie Le Pen.
"En raison de la présence en France de près de quatre millions et demi de travailleurs immigrés et de membres de leurs familles, la poursuite de l'immigration pose aujourd'hui de graves problèmes. La côte d'alerte est atteinte. Il faut arrêter l'immigration sous peine de jeter de nouveaux travailleurs au chcômage. Se trouvent entassés dans ce qu'il faut bien appeler des ghettos des travailleurs et des familles aux traditions, aux langues, aux façons de vivre différentes.Cela rend difficile leur relation aux Français. Quand la concentration devient très importante, la crise du logement s'aggrave." Georges Marchais, il y a trente ans, dans son français acrobatique. Un prophète ?
"J'appartenais en 1958 au Centre National des Indépendants et Paysans d'Antoine Pinay. J'étais au centre droit. Je défendais les mêmes idées que maintenant. Ce n'est pas moi qui me suis déporté vers l'extrême droite, c'est le corps politique français qui s'est déplacé vers la gauche." Jean-Marie Le Pen.
"En raison de la présence en France de près de quatre millions et demi de travailleurs immigrés et de membres de leurs familles, la poursuite de l'immigration pose aujourd'hui de graves problèmes. La côte d'alerte est atteinte. Il faut arrêter l'immigration sous peine de jeter de nouveaux travailleurs au chcômage. Se trouvent entassés dans ce qu'il faut bien appeler des ghettos des travailleurs et des familles aux traditions, aux langues, aux façons de vivre différentes.Cela rend difficile leur relation aux Français. Quand la concentration devient très importante, la crise du logement s'aggrave." Georges Marchais, il y a trente ans, dans son français acrobatique. Un prophète ?
lundi 7 octobre 2013
La trahison des élites.
La trahison est évidente chez les politiques, mais elle est soutendue par la trahison des élites économiques et financières qui ont réussi à mettre toutes les élites d'accord avec leur théorie du cosmopolitisme-ultralibéralisme-mondialisme
En politique, cette trahison est surtout visible à
droite car la gauche fait figure d’éclaireur du chemin du progrès
et donc elle est toujours dans le droit chemin du rêve. En fait, elle fait
fausse route de principe !
Par contre, la droite qui est censée
gérer la réalité rencontrée dans la vie de tous les jours, se
fourvoie régulièrement en essayant de suivre les élucubrations de
la gauche au détriment du peuple. De temps à autre le peuple s’en
aperçoit et s’énerve !
Pour vous en convaincre, voici quelques
unes des propositions de la droite et du centre (RPR et UDF) les 31
mars et 1° avril 1990, à Villepinte, citées dans un passionnant
petit fascicule de Jean de Rouen : « La droite
parlementaire est-elle encore de droite ? » édité chez
Godefroy de Bouillon. Voici ces citations reprises en vrac
« Sur la question du
multiculturalisme, rebaptisé niaisement du doux nom de diversité…la
France ne doit pas être considérée comme un simple espace
géographique sur lequel plusieurs civilisations pourraient
coexister. Dans les banlieues, la lutte des races remplacerait bien
souvent la lutte des classes. L’islam n’apparaît pas conforme à
nos fondements sociaux et semble incompatible avec le droit français.
Il y a bien incompatibilité entre l’islam et nos lois. C’est à
l’islam et à lui seul de s’adapter afin d’être compatible
avec nos règles. Ce n’est pas aux pouvoirs publics d’organiser
l’islam en France. On n’intègre pas des communautés mais des
individus. Il convient de s’opposer à toute tentative
communautaire qui viserait à instaurer sur le sol français des
statuts personnels propres à certaines communautés. La France ne
peut plus être un pays d’immigration. Elle n’est pas en mesure
d’accueillir de nouveaux immigrants. Nous proposons la fermeture
des frontières et la suspension de l’immigration.
Il faut éliminer les points faibles de
notre système de protection sociale qui créent une incitation
artificielle à l’immigration. Etre étranger en France, ce n(est
pas avoir automatiquement et intégralement tous les droits liés à
la citoyenneté française. L’école n’est pas un lieu
d’expression multiculturelle. Les cours de langues et cultures des
pays d’origine doivent être facultatifs et déplacés en dehors
des horaires scolaires ».
Merci Jean de Rouen de ce rappel de
faits.
Demain je vous montrerai deux citations étonnantes de deux
personnalités opposées de la politique ! Stupéfiant !
En attendant l’accroc, que «
le vaya lindo », comme on dit en Argentine !
mercredi 21 août 2013
La France est devenue ingouvernable et ingérable. Genèse de l’engrenage stérilisant de la Pensée Légale Obligatoire Unique et Correcte. La fameuse PLOUC ! Les lois liberticides sont une des sécrétions juridiques de la PLOUC (Pensée Légale Obligatoire Unique et Correcte). Le bouleversement du projet des politiciens sociaux-démocrates depuis l’écroulement du mur de Berlin. Le nouveau joug administratif, technique et du divertissement vulgaire induit un nouvel esclavage, accepté et même revendiqué au nom du progrès. L’immigration-invasion et le grand chambardement des populations. Le racisme. L’islam. Ce que les « élites » ont dans la tête, mais ne disent jamais en public. En attendant l’accroc…
Voici terminée la réflexion sur l’état actuel de la société française et sur son
évolution en cours. C'était peut-être un peu lourd pour le mois d'août mais on ne peut pas penser qu'au foutbol et aux programmes de télé !!
Certes !
Je n'ai pas les ambitions délirantes de notre gouvernement qui pense déja à 2025, tout habillé de rose ! Les pauvres !
Beaucoup des idées pessimistes résumées ici sont développées dans mon livre :
Beaucoup des idées pessimistes résumées ici sont développées dans mon livre :
« L’Occident blanc. Domination,
déviances et défaillances. »
publié sur Amazon Kindle et que vous
pouvez trouver et lire gratuitement en allant sur ce site.
Voici donc l'ensemble du feuilleton que
l’on pourrait baptiser « La France de Hollande, maintenant ! », suivant le plan :
- La France est devenue ingouvernable et ingérable.
- Genèse de l’engrenage stérilisant de la Pensée Légale Obligatoire Unique et Correcte. La fameuse PLOUC !
- Les lois liberticides sont une des sécrétions juridiques de la PLOUC (Pensée Légale Obligatoire Unique et Correcte).
- Le bouleversement du projet des politiciens sociaux-démocrates depuis l’écroulement du mur de Berlin.
- Le nouveau joug administratif, technique et du divertissement vulgaire induit un nouvel esclavage, accepté et même revendiqué au nom du progrès.
- L’immigration-invasion et le grand chambardement des populations.
- Le racisme.
- L'islam.
- Ce que les « élites » ont dans la tête, mais ne disent jamais en public.
10 En attendant l’accroc…
Comme prévu initialement, vous verrez dans quelques jours un diaporama sur la France de Hollande. Vous ne serez pas déçus !Comme toujours pour les réactions positives ou négatives : bexjeanpierre@gmail.com.
1) La France est devenue ingouvernable et ingérable.
Grâce à son passé, à son climat et
au travail de ses habitants, la France pourrait être actuellement un
pays magnifique dont la population serait éduquée, active et
moralement responsable.
Réveil et fin du rêve !
La France reste le pays le plus
attractif au monde pour les touristes. Nos paysages, nos monuments et notre art de vivre
séduisent encore beaucoup de visiteurs étrangers … qui se
plaignent pourtant de l’insécurité qui règne partout et du
manque de gentillesse et de courtoisie des Français qu’ils
accusent d’être rogues et impolis. Le pessimisme est de rigueur
dans une société qui a perdu tout raffinement et beaucoup de
cohésion. Des bouleversements sociaux, économiques et politiques,
choisis ou imposés, se sont multipliés depuis une cinquantaine
d’années et aboutissent maintenant à un « grand
chambardement » social, comme disaient les Canadiens
francophones en 1755,avant d'être déportés par leurs "amis" anglophones. Espérons que tout ne se finira comme pour
eux !
La « brillante » élite
politique, qui dirige le pays depuis des décennies, a choisi de
modifier ce que la lente élaboration des siècles avait
progressivement institué. Toute idée abstraite, même farfelue, et
les idéologies les plus utopiques ont pour ces gens plus de poids
que l’expérience, l’habitude et la tradition.
"Si on fait de la politique, c'est pour changer les choses." Je crois que cette phrase est de Monsieur Assouline, socialiste pur sucre.
La France est devenue un pays géré par des arrivistes à prétention intellectuelle, suffisants et cupides, qui admettent difficilement de soumettre leurs idées et leurs projets au tamis de l’expérience pratique et surtout d’en changer si l’expérience est négative. L'idéologie est un impératif suprême. La France est devenue le pays du verbiage permanent, abstrait et souvent incompréhensible. Ainsi, tout le monde peut clamer ses opinions sur toutes les ondes, sans que cela change quoique ce soit d’ailleurs ! Les médias, cantonnés dans les limites imposées par la pensée correcte sociale et politique, s’orientent tous vers les divertissements vulgaires : foutbol, télé poubelle, pornographie, pipeuls…
"Si on fait de la politique, c'est pour changer les choses." Je crois que cette phrase est de Monsieur Assouline, socialiste pur sucre.
La France est devenue un pays géré par des arrivistes à prétention intellectuelle, suffisants et cupides, qui admettent difficilement de soumettre leurs idées et leurs projets au tamis de l’expérience pratique et surtout d’en changer si l’expérience est négative. L'idéologie est un impératif suprême. La France est devenue le pays du verbiage permanent, abstrait et souvent incompréhensible. Ainsi, tout le monde peut clamer ses opinions sur toutes les ondes, sans que cela change quoique ce soit d’ailleurs ! Les médias, cantonnés dans les limites imposées par la pensée correcte sociale et politique, s’orientent tous vers les divertissements vulgaires : foutbol, télé poubelle, pornographie, pipeuls…
Pour profiter de tout, notre société
est devenue matérialiste et opportuniste.
Pour tout justifier, elle est devenue
relativiste.
Pour rester libertaire, malgré le
carcan des normes et de l’administration, elle se veut
individualiste ou plutôt groupusculaire.
La conjonction de ces caractéristiques
la rend désagréable à vivre, inconstante, souvent égoïste et
revendicatrice. Les individus sont de plus en plus envieux, jaloux du
bien des autres.Tout le monde devrait être riche !
L’individualisme,
fondé sur la dissolution de tout lien social traditionnel, familial,
professionnel et national, s’est confortablement installé dans
notre société. Chacun pour soi. Cet individualisme se dissimule au
milieu de multiples groupuscules et de communautés religieuses,
ethniques, linguistiques, sportives, d’orientation sexuelle, de
handicap… Mais, sans solidarité nationale stabilisante, la liberté
individuelle est seulement bridée par la confrontation de tous
contre tous. Quand tout va bien, il peut être agréable de vivre
sans foi ni loi, mais, à la première difficulté, l’individu se
retrouve seul, isolé, victime d’une terrible pauvreté
relationnelle dans un monde indifférent, sans compassion. Il cherche
alors désespérément des points d’ancrage solides dans une
société qui n’a plus de piliers moraux. L’indifférence ou
l’hostilité ont remplacé le peu de fraternité et de solidarité
qui persistaient et l’animosité voire la haine se manifestent plus
souvent que l’amour du prochain !
Minée par le relativisme, le
subjectivisme et un matérialisme exclusif de toute préoccupation
spirituelle, la masse populaire française est en train de perdre les
vertus qui avaient, auparavant, fait sa force.
L’autorité a disparu depuis 1968
sous prétexte qu’elle rappelait à certains la barbarie nazie.
Manuel Valls, dit « Minister Gaz », s’en aperçoit
seulement pendant l’été 2013. Bien !
Il est pourtant évident qu’elle est
nécessaire pour les parents vis-à-vis de leurs enfants, pour un
enseignant vis-à-vis de ses élèves, pour un policier envers un
citoyen… Cette autorité était fondée sur une expérience plus
grande, une spécialisation plus pointue, un besoin social d’ordre…
Elle n’avait rien d’humiliant et était nécessaire à la
cohésion sociale.
Par ajouts successifs, la structure
administrative et politique du pays est devenue une usine à gaz
compliquée, souvent incompréhensible et qui coûte tellement cher
à faire fonctionner que l’Etat est en faillite virtuelle. La vie
sociale moderne est devenue compliquée, truffée de normes, de
codes, de directives, de règles usuelles ou légales. Pour nous
aider dans cette complexité technique, il nous faut de l’aide, des
spécialistes, des experts, des intermédiaires pour tous les
secteurs de la vie. On ne peut plus rien faire sans avoir recours à
des conseillers (juridiques, fiscaux, bancaires, médicaux,
administratifs…) des soutiens, des « cauchs » pour ceux
qui en ont les moyens.
Toutes les institutions ont tendance à
sortir de leurs prérogatives initialement prévues et à interférer
avec les autres. Inversement, elles admettent que les autres fassent
une partie du travail qui leur était dévolu. La justice se mêle de
politique comme le prouve une affiliation d’un bon tiers des
magistrats au syndicat d’extrême gauche de la magistrature. Le
politique oriente en sous main les juges comme le prouve l’indécente
répression, voire rétorsion judiciaire, sur quelques manifestants
bien tranquilles de la « manif pour tous ». Le Conseil
constitutionnel, en fonction de son humeur, valide ou non les
comptes de campagne des candidats aux élections. Des syndicats ultra
minoritaires ont une voix politique au chapitre. Le Conseil de
l’ordre des médecins est même allé jusqu’à infliger un blâme
à Cahuzac pour son affaire de fraude fiscale ! Si l’on devait
blâmer tous les médecins français qui doivent avoir un compte non
déclaré en Suisse… on n’en finirait pas !
Le bien commun n’existe plus. Il
est remplacé par une multitude d’intérêts particuliers très
souvent divergents. Plus les entités concernées sont grandes, plus
les divergences s’accentuent. La communauté nationale, soudée au
cours des siècles par les liens du sang et élargie par une
immigration utile, rassemblée par le travail ou cimentée par les
sacrifices et le patriotisme de nos ancêtres, est critiquée par
beaucoup de nos élites et souvent vilipendée dans les médias. La
dissolution du lien national est maintenant patente. Le patriotisme a
disparu en France. Il est même interdit et puni lorsqu’il
évolue vers le nationalisme ou seulement la préférence nationale.
La famille traditionnelle avec papa,
maman et les enfants est décriée. Les autres formes de partenariat
sociaux sont valorisés : « mariage homosexuel »,
concubinage, vagabondage sexuel…
Décomposée, atomisée, recomposée, pacsée, la famille moderne multi-cartes
aboutit souvent à des catastrophes psychologiques pour les enfants,
pour les nombreuses mères abandonnées ou les maris désespérés,
notamment ceux qui se perchent sur des grues.
Notre
société est devenue une « dyssociété ».
- Genèse de l’engrenage stérilisant de la Pensée Légale Obligatoire Unique et Correcte (PLOUC).
Les longues rafales d’acrimonie et
d’invectives déclenchées autour de l’adoption officielle par la
France du « mariage homosexuel » sont loin d’être
terminées, malgré la conclusion du circuit législatif, hâtivement
bâclé par un pouvoir inquiet de l’ampleur prise par sa
contestation.
Alors que la même manœuvre était
passée en douceur en Espagne, en Hollande, en Grande Bretagne et
ailleurs, on ne sait pourquoi en France cette « avancée
sociale » a engendré un véritable soulèvement populaire que
les autorités ont voulu occulter, une scission sociale niée par
l’exécutif socialiste et une répression policière démesurée et
vicieuse vis-à-vis de jeunes manifestants pacifiques, bien élevés
et non violents. L’ampleur inégalée de manifestations populaires
itératives, maladroitement dissimulée par des chiffres ridiculement
faux, et la ténacité spontanée des manifestants, non entravée par
des organisations partisanes, attestent de la profondeur sociale de
ce mouvement de protestation qui s’étend maintenant au
gouvernement lui-même. Ce que le clairvoyant Hollande pensait anodin
s’est avéré un détonateur social redoutable. Sa suffisance Delanoë, qui dans
l’affaire est juge et partie, soulignait que ce texte de loi
n’enlevait rien aux « Autres », aux hétérosexuels.
Mais, exceptionnellement pour des manifestants, il ne s’agissait
pas de gagner ou de perdre trois francs et six sous, mais de s’élever
contre « le geste de trop » d’une tyrannie utopique et
délétère. Juppé, le meilleur d'entre nos mais qui n'a toujours rien compris, recevant les Veilleurs de passage à Bordeaux, croyait qu'ils venaient lui demander une subvention !! Une jeune génération bourgeoise, éduquée et
déterminée, ainsi que de nombreux « vieux » du
papy-boum, volontiers catholiques ou imprégnés des valeurs chrétiennes, ont longuement arpenté ensemble
le pavé parisien pour signifier à leurs « élites » qui ne
voulaient rien entendre, qu’ils s’opposaient en nombre à une
modification de plus de leur façon de vivre habituelle. Basta cosi !
La « manif pour tous » a
été l’étincelle qui a mobilisé des foules contre une véritable
révolution anthropologique déjà bien entamée !
Finalement, cette concession, faite à
d’infimes lobis pédérastes ultra-minoritaires, a cristallisé la
fureur d’une bonne moitié de la population française contre un
gouvernement incompétent et indécis. Mais surtout elle a tracé
une ligne de partage entre deux visions devenues inconciliables des
règles sociales. L’acceptable ou l’inacceptable.Le bien commun ou les privlilèges des lobis.
Dans notre conception anthropologique
habituelle, l’homme dominait certes son environnement mais s’imposait
de le gérer avec tact, modération et humilité. Il devaitt admettre
qu’il existe des mystères du monde inaccessibles à sa pensée
logique. Il admirait la beauté de la nature dont il ne comprend et
n’utilise qu’une toute petite partie. Les croyants y rajoutent
Dieu ou des forces qui nous dépassent, supérieures et dignes
d’adoration. Cette vision du monde dite judéo-chrétienne était
accompagnée par une morale fondée sur la loi naturelle et les dix
commandements qui ont fait l’unanimité, même des anticléricaux,
jusque vers la fin du XX° siècle. Don Camillo et Peppone arrivaient
à faire bon ménage !
Le peuple adhérait à cet état
d’esprit progressivement installé par la lente élaboration des
siècles.
Mais les « élites » intellectuelles ont décidé qu’il fallait le remplacer par une conception prométhéenne de l’homme.
Mais les « élites » intellectuelles ont décidé qu’il fallait le remplacer par une conception prométhéenne de l’homme.
Les progrès de la science et les
magnifiques réalisations techniques de l’homme lui ont conféré
un orgueil incommensurable qui lui permet d’extrapoler par la
pensée la courbe du progrès au fil du temps, et de le croire
permanent et toujours bénéfique. Nos dirigeants sont convaincus
des bienfaits obligatoires du progrès technique et surtout des
bénéfices financiers que cela peut apporter à leur groupe social.
On doit négliger le « mur des
limitations » que certains lui opposent. On étend le champ
d’action des sciences dites dures à des domaines (les soi-disant
« sciences humaines ») où leurs règles ne sont plus
applicables, où tous les paramètres ne sont pas connus et où la
vérité devient seulement statistique. Qu’importe, l’Homme se
voit déjà maître de l’univers. Il ne veut plus de limite, plus
de frontière, plus de barrière…Il s’autorise alors tout ce
qu’il désire sans admettre la moindre restriction d’ordre moral.
Tout dépend de notre volonté.Les « élites » avant-gardistes sont les thuriféraires
de cette nouvelle idéologie. Mais elles le font de façon sournoise
et subreptice, pour ne pas « effrayer Billancourt ».
Elles prennent toutes les mesures pour favoriser l’ultralibéralisme
mais en douceur, à petits pas, en catimini.
Deux théories sont intimement liées :
L’ultra-libéralisme économique et financier, qui veut
supprimer toute norme ou règle faisant obstacle à la cupidité de
ses dirigeants et aux principes du mondialisme, et la libération
infinie des désirs, qui elle aussi refuse toute limite ou
obstacle dans le domaine sociétal.
Cette jouissante libération infinie
des désirs sert d’ailleurs à faire passer dans l’immédiat la
pilule amère des échecs de l’ultra-libéralisme économique et
financier ! Les dégâts sociaux de la libéralisation infinie
des désirs ne se manifesteront que beaucoup plus tard et donc cette
idéologie peut faire illusion dans l’immédiat.
Mais le peuple constate et souffre déjà
de deux de ses conséquences.
L’ultra libéralisme l’a soumis à
une répétition gravissime de crises structurelles, que l’on peut
regrouper sous le terme de Dépression Industrielle et Financière
(DIF), commencée à l’automne 2007 et dont la faillite de la
banque Lehman Brothers marque le début « officiel ».
Personne, sauf Hollande, n’en voit encore la fin.
Nos élites essaient d’imposer une
transformation de la population en une masse gélatineuse d’ « homo
economicus » qui devrait consommer goulûment pour faire
croître l’économie, sans rien penser, ni discuter, ni surtout
contester.
Philippe Muray parlait de "festivus festivus" ! La jeunesse s’est insurgée contre
cette fabrication industrielle de crétins obéissants, obèses, mous
et tolérant tout !
La libération infinie des désirs,
donnant une priorité absolue, donc excessive, aux pulsions
individuelles sur la cohésion sociale, n’est pas compatible avec
la pérennité harmonieuse de cette société, qui est pourtant
nécessaire au bien-vivre de ses membres.
Pour retarder le choc frontal de la
France profonde avec la vision prométhéenne des « élites »,
celles-ci n’ont rien trouvé de mieux que de nous imposer une
Pensée Légale Obligatoire Unique et Correcte que le bon peuple
ridiculise sous l’acronyme PLOUC. La PLOUC est un concentré
utopique des désirs des élites imposé au peuple par un matraquage
médiatique constant et pour les récalcitrants, par la coercition de
multiples lois liberticides.
3) Les lois liberticides sont une
des sécrétions juridiques de la PLOUC (Pensée Légale Obligatoire
Unique et Correcte).
L’obnubilation de l’anti-racisme, de l’anti-révisionnisme, de l’anti-sexisme, de l’anti-anti-sémitisme, de l’homophilie a engendré une kyrielle de lois qui interdisent tout débat sous prétexte de ne pas offenser l’Autre ou l’Histoire établie.
Peu de gens connaissent
ces multiples lois françaises qui
restreignent la liberté d’expression, dans le domaine public
bien sûr mais aussi dans la sphère privée. Les médias
politiquement corrects ne les évoquent jamais car ils ne se sentent
en rien menacés. Il faut donc parler de ces lois honteuses,
liberticides et scélérates.
Depuis 1881, une loi protégeait la
liberté de la presse. Elle avait supprimé toute autorisation
préalable et tout délit d’opinion. Elle ne sanctionnait que trois
abus : la provocation au crime, la diffamation et l’injure.
Cette liberté, jugée adéquate pendant près d’un siècle, a été
rognée par des amendements successifs : loi Pleven (juillet
72), puis Gayssot-Rocard (juillet 90) qui voulaient surtout
décourager la remise en question de dogmes historiques considérés
comme définitivement établis et intangibles. De nombreux historiens
se sont élevés contre ces textes de loi, mais sans grande
efficacité.
Depuis 2003, une avalanche de nouvelles
lois (3 février 2003, 18 mars 2003, 9 mars 2004 et 21 décembre
2004) s’est attachée à punir tout propos, qui pourrait être
considéré, explicitement ou implicitement, comme misogyne,
homophobe, raciste, sexiste, anti-sémite… ainsi que leur promotion
médiatique ou institutionnelle, directe ou indirecte. Cela fait
beaucoup !
Plus tard encore, la création de la
HALDE (Haute Autorité de Lutte contre les Discriminations et pour
l’Egalité) a renforcé les peines encourues pour apologie d’une
quelconque préférence nationale, régionale ou familiale, pour
toute discrimination ou pour révision de l’historiquement correct.
Ensuite le nom de la boutique a changé mais elle vend toujours le
même discours et les mêmes punitions. La dénonciation des
contrevenants a été encouragée, comme cela se faisait pendant
l’Occupation et l’Epuration.
Le pouvoir n’est pas particulièrement
fier de cet arsenal juridique, mais il laisse faire, sans vergogne,
des officines politiques subventionnées qui attaquent
systématiquement en justice tout contrevenant avec l’espoir de
ruiner financièrement les récalcitrants.
Ces lois peuvent s’abattre sur vous,
directement ou non, un jour ou l’autre, comme la guillotine pendant
la Terreur. Aujourd’hui on ne coupe plus les têtes, on coupe les
cordes vocales. En public, les censeurs vous coupent le micro !
Il n’y a pas de goulag chez nous mais le « camp de rétention
intellectuelle forcée » pour les penseurs divergents est bien
rempli. Un lynchage médiatique est organisé pour ceux qui tentent
de s’en évader.
Il existe donc des sujets à ne pas
aborder que, n’en déplaise à nos élites, nous évoquerons ne
serait-ce que pour constater leur évolution en 2021 !
4) Le
bouleversement du projet des politiciens sociaux-démocrates depuis
l’écroulement du mur de Berlin.
Depuis l’effondrement de l’URSS
dans les années 90, la gauche française a du reconnaître
l’efficacité du modèle économique libéral et reformuler
radicalement son projet politique pour l’adapter au contexte
dominant. La domination étatique du terrain économique, la lutte
des classes et la centralisation démocratique sont devenues
ridicules. Pour continuer à exister la gauche a du se rabattre sur
l’émancipation individuelle et les largesses de l’Etat-Providence.
Ainsi est né un gauchisme culturel, particulièrement prisé par les
« bobos », qui acceptait, contrairement à la tradition
socialiste, la fin des actions pour le collectif et valorisait
l’ultra libéralisme et l’individualisme.. Pour compenser !
On restait fidèle à Rousseau qui
considérait que l’homme était bon et que c’était la société,
encore soutenue par les principes judéo-chrétiens, qui le
pervertissait. Il fallait donc abolir toutes les institutions, les
barrières, les règles qui brident la liberté individuelle. Mai
68 ! Comme on ne peut plus changer la société en modifiant
l’économie et les classes sociales qu’elle a crée, on allait le
faire en modifiant la culture du peuple et en se servant des
innovations sociétales de l’anthropologie prométhéenne.
Elle pouvait séduire car elle est optimiste, permissive et suppose
que progrès technique est incessant et toujours utile. Ainsi on voit
la gauche actuelle décidée à libérer l’individu de toutes les
contraintes qui l’« oppriment » et en particulier
celles issues des racines judéo-chrétiennes de la société.
« Il faut arracher les enfants
au déterminisme de la religion et de la famille. »
Taubira !
Pour la gauche, la famille est en même
temps, le lieu de reproduction des inégalités et le lieu
d’oppression des potentialités de l’enfant. L’école, tenue
par des enseignants de gauche, est au contraire le lieu de
l’émancipation et de la socialisation. Il faut promouvoir l’école
très jeune et dynamiter l’institution familiale.
Moins familiariser et plus scolariser,
c’est du Peillon dans le texte !
La nécessité pécuniaire du travail
féminin salarié avait déjà modifié et réduit le rôle de la
mère dans l’éducation des enfants. La famille traditionnelle
repose sur la stabilité du mariage hétérosexuel (ce qui est un
pléonasme !) monogame. Il faut le ringardiser au profit du
PACS, du mariage homosexuel (ce qui est un oxymore !) et le
déstabiliser par la facilitation des divorces.
Ces actions de la gauche contribuent à
la pérennité de ce que l’on continue à appeler « la
crise » et qui est en fait une véritable Dépression
Industrielle et Financière (DIF) de l’Occident, beaucoup plus
durable que prévu et surtout structurelle et non pas conjoncturelle
comme l’affirme ce pauvre Hollande.
La préférence de l’individuel sur
le collectif explique le refus (non avoué bien sûr) de la gauche de
maintenir les communautés familiales, de travail et nationales
dévouées au service de la société. Cette stratégie est
convergente avec l’idéologie libérale libertaire et le
mondialisme, qui ont aussi besoin d’une liberté totale pour
assouvir la cupidité de ses élites.
On comprend mieux que les programmes de
l’UMP et du PS soient très voisins sur le fond.
Dans le détail, celui du PS est bien
plus toxique car il est incapable de réduire les dépenses de
l’Etat et qu’il travaille en plus à établir une égalité
généralisée et obligatoire, sous ses formes les plus stupides.
5) Les nouveaux jougs administratif,
technique et du divertissement vulgaire induisent une forme nouvelle
d’esclavage, très répandue en Occident, acceptée et même
revendiquée au nom du progrès.
Tout le monde est d’accord, au moins
dans les démocraties occidentales et en Afrique noire,
pour condamner l’esclavage. Il
persiste néanmoins dans sa forme traditionnelle dans la péninsule
arabique et son pourtour. Mais une forme plus sournoise, plus
généralisée, plus moderne de l’esclavage s’est étendue à
partir de l’Occident sur une bonne partie de l’humanité.
En France, pays de la liberté, on peut
lui trouver trois composantes.
L’esclavage dû au progrès
technique.
On laisse le progrès technique décider
de notre avenir sans aucune réflexion sur son utilité. S’il est
commercialement rentable, il sera imposé par les grandes firmes industrielles et accepté par la société. C’est
l’idolâtrie du progrès technique. Le progrès n’est pas ordonné
par la raison ou la sagesse philosophique mais par les hasards de la
découverte et le souci de la rentabilité financière.
L’informatique actuelle nous en donne une preuve tous les jours.
Le GPS est utile aux militaires, aux
explorateurs, aux chauffeurs de taxi et à quelques autres
professions mais reste complètement inutile pour beaucoup d’autres
qui n’ont qu’à savoir lire une carte ou pouvoir localiser l’endroit où
ils trouvent des champignons ! Néanmoins cette nouveauté
s’impose à eux.
L’esclavage dû à l’hypertrophie
de l’administration.
On laisse la pieuvre administrative
nous enserrer dans ses tentacules monstrueuses par leur hypertrophie.
L’administration étouffe la société civile.
Elle s’insinue dans les moindres
recoins de la vie de nos compatriotes.
Ses multiples
bras armés assurent, vis-à-vis du peuple, la surveillance et la
coercition voulue par le Système Politique et Social. La France
s’est dotée d’une « nounou sociétale » fastidieuse
qui s’octroie les prérogatives d’une assistante sociale peu
compétente, mais qui s’immisce dans tous les actes de la vie
sociale.
Une vraie mouche du coche !
Nous souffrons d’une hypertrophie
numérique de la structure administrative de l’Etat qui voudrait
s’occuper de tout. Elle s’est dotée pour cela d’une panoplie
réglementaire abondamment fournie. Nous croulons sous une avalanche
de codes, normes, recommandations…Bien entendu la répression suit
de près, essentiellement sous forme d’amendes, de procès-verbaux
et autres « pompes à phric ». C’est ennuyeux et
stérile. Mais il y a encore pire que l’administration française !
L’Espagne est un exemple extrême d’une administration
incompétente, mais qui manifeste les mêmes ambitions de tout
régenter. Union Européenne oblige ! Le résultat est
terrifiant. De la quantité sans la qualité ! C’est une
pléthore d’employés inefficaces et souvent nuisibles et
arrogants ! Tous les moyens de freiner ou de contrecarrer les
projets des citoyens, des entrepreneurs sont bons à mettre en œuvre.
La première idée qui traverse le cerveau d’un fonctionnaire
espagnol devant un client est : « que vais-je pouvoir
opposer comme règle administrative à cette personne pour ne pas
faire ce qu’elle me demande ? »
Je généralise peut-être un peu,
mais vraiment très peu !
Tout est codifié, « normaté »,
contrôlé et éventuellement interdit pour des raisons souvent
incompréhensibles. Sachant que nous n’obtiendrions pas le moindre
brin d’humanité de ce monstre froid et sans âme, nous aurions pu
espérer au moins une meilleure organisation des services. Il n’en
a rien été. En fait, c’est le citoyen qui doit s’adapter aux
règles administratives et non pas le contraire comme cela devrait
être. L’informatique a beaucoup aidé cette évolution !
Heureusement, celle de l’administration « beugue »
encore de temps en temps !
Si elle n’est pas contrôlée par des
éléments extérieurs à elle-même, toute administration manifeste
toujours une tendance irrépressible à accroître son domaine, son
pouvoir, son personnel et son budget, quel que soit son volume
d’activité, ses besoins et son utilité. L’abondante
administration internationale de Bruxelles en offre un exemple
caricatural depuis des lustres. La notre, coiffée par l’européenne,
assure de moins en moins les devoirs régaliens de l’Etat vis-à-vis
de la population, pour se consacrer aux détails de notre vie
quotidienne. Ne serait-ce que pour justifier son existence !
Néanmoins son rôle est souvent jugé insupportable par les
citoyens : multitude des règlements, complexité des
formalités, incohérence des services entre eux, longueur des
délais... L’administration est sourde au bon sens et raffole de
remontrances moralisatrices exaspérantes.
« Arrêtez d’emmerder les
Français ! » était l’interpellation gaillarde de
l’ensemble des Députés par un de leurs collègues (Jacques
Myard), en 2012, à propos de la prolifération des radars routiers.
L’esclavage par l’abrutissement
des masses par des divertissements vulgaires et mondialisés
La seule forme d’esclavage que l’on
puisse encore éviter est celle de la télévision.
Mais ceux qui n’ont pas la télévision
chez eux représentent 1 à 2 % de la population ! Alleluia !
Ceux qui prennent le risque d’allumer
le poste sont contraints de voir pratiquement tous les soirs des
matchs de foutbol ou des émissions débiles.
On est le plus souvent indifférent vis-à-vis de l’esclavage administratif quand les foudres des sbires fonctionnaires s’abattent sur les autres. Cela change lorsqu’on perd son portefeuille avec les documents d’identité qui sont habituellement dedans et qu'il faut les faire refaire !
On est content de l’esclavage lié au
progrès technique car la publicité ou les manipulations mentales de
masse nous font croire à sa nécessité et à son utilité. Surtout,
on s’aperçoit assez vite que l’on ne peut plus vivre sans s’y
adapter. De force !
« Nous sommes étonnamment
bien châtrés. Ainsi nous sommes enfin libres ! On nous a coupé
les bras et les jambes ; puis on nous a laissé libres de
marcher. Mais je hais cette époque où l’homme devient sous un
totalitarisme universel, bétail doux, poli et tranquille. On nous
fait prendre ça pour un progrès moral ».
Antoine de Saint Exupéry.
Il n’y a plus de progrès moral, au
contraire ; on abandonne les principes qui avaient fait notre
force. Tout dans ce domaine a été inventorié par les Grecs et
maintenant nos philosophes contemporains, à de très rares
exceptions près, se contentent de pédaler dans la choucroûte !
Ainsi s’est substituée à la forme
historique de l’esclavage, une nouvelle forme
technico-administrativo-ludique mondialisée, bien plus répandue et
appliquable à toutes les races et ethnies. Cerise dans la
choucroûte : il faut payer pour en bénéficier!
Peu de gens s’en plaignent. C’est
le progrès !
6) L’immigration-invasion et le
grand chambardement des populations.
Le mondialisme a déjà entraîné
des conséquences pratiques pour les populations de l’Occident.
Nous avons vu leur paupérisation accélérée, mais il reste
possible d’espérer des retournements de cette situation financière
lorsqu’une éventuelle stabilisation du système monétaire
international pourra être acquise.
Par contre, les bouleversements
démographiques qui se sont produits dans le premier quart du XXI°
siècle en Europe, seront irréversibles et s’aggraveront. Ils
sont déjà en train de créer des difficultés sociales graves.
La démo-politique aurait dû être
prise en considération alors qu’il était temps d’agir, dans le
dernier quart du XX ° siècle. L’Occident, appauvri mais encore
riche, représente seulement un huitième de la population du monde.
En plus, il a tendance à se dépeupler et sa population vieillit. Le
contraste est évident avec les autres sept huitièmes de
l’humanité, bien plus pauvres matériellement, mais
généralement dotés d’une jeunesse abondante. Les conditions de
vastes mouvements migratoires étaient réunies.
Ainsi, devant la crainte d’un désert
démographique européen, une juxtaposition d’ethnies et de races
caractérisée par sa rapidité et son hétérogénéité a été
jugée nécessaire puis réalisée, sans que jamais les gouvernements
de ces régimes démocratiques n’aient demandé aux peuples
autochtones ce qu’ils en pensaient.
La sensation que cette
immigration-invasion était incontrôlée par les autorités, sous
prétexte que les réglementations européennes la rendaient
incontrôlable, a attisé les craintes des Européens de vieille
souche.
Pour de multiples raisons, notamment
linguistiques, c’était de pays anciennement colonisés que
venaient ces personnes. L’Afrique du nord et de l’ouest a depuis
toujours préféré la France.
Pour augmenter le nombre de ces
étrangers choisissant la France et avec l’idée de diminuer les
transferts d’argent vers leurs familles lointaines, les
gouvernements de Giscard d’Estaing et de Chirac ont favorisé le
regroupement familial. Cela a contribué à modifier
qualitativement l’immigration qui de travail était devenue de
peuplement. Le regroupement familial a transformé l’expatriation
temporaire en expatriation durable.
L’accession immédiate des immigrants
aux privilèges sociaux des citoyens français a rapidement été
connue dans tous les recoins de l’ancien Empire Colonial Français.
En fait, de nos jours, le phénomène migratoire s’apparente à une
invasion des pays dotés d’un Etat-Providence, c’est-à-dire
anciennement riches et actuellement ruinés. Invasion non pas
militaire, mais sociale.
Cette immigration-invasion pose de
multiples problèmes. Pourquoi ?
- D’abord pour une question de
principe déjà évoquée : la nomenklatura n’a jamais demandé
leur avis, sur un sujet aussi important, aux peuples autochtones
dans des pays qui ont fait de la démocratie leur étendard de
bataille.
- Ensuite, parce qu’elle n’est
plus adaptée aux besoins des pays d’accueil. Elle a fait arriver
une masse sociale, sans formation spécialisée technique ou
intellectuelle, dans une société qui s’oriente vers le
sophistiqué, le complexe et les services.
- Enfin, parce qu’elle surcharge le
système de protection sociale hexagonal, qui a du mal à se
maintenir grâce à des tours de passe-passe répétés.
- Surtout depuis que les gouvernements
de gauche et de la droite dite parlementaire, ont ouvert ses
avantages à ceux qui n’avaient jamais contribué à son
financement, et même aux étrangers en situation illégale. L’AME
(Assistance Médicale d’Etat) coûte cher et devient injuste.
Des
visas ! Des visas ! L’étendue et la porosité des
frontières européennes empêchaient tout contrôle effectif des
entrées illégales. Une tolérance de
fait s’est installée depuis longtemps pour les « sans
papier » qui étaient en fait en pleine illégalité.
On assiste
actuellement sur les territoires occidentaux à la « sarabande
des identités », comme disait Levinas.
Toute réflexion sociologique sur ce sujet est interdite dans le pays
de la liberté ! Mais il n’y a qu’à ouvrir les yeux, dans
le métro, dans les trains de banlieue ou dans certains quartiers,
pour s’apercevoir que ces immigrants récents sont, en grande
majorité, noirs ou arabes.
Le
nombre de migrants, en saturant les capacités d’accueil de notre
hexagone a rendu illusoire leur assimilation et de plus en plus
difficile leur intégration. La lâcheté des politiciens « aux
affaires » pour être réélus, leurs critiques et repentances
sur tout le passé colonial français, leur faiblesse à prétention
humanitaire vis-à-vis des minorités dites visibles, suscitent dans
ces groupes plus souvent mépris qu’admiration. Leur complaisance
vis-à-vis des transgressions sélectives des lois et leur
acceptation des vicissitudes de la société de sur-consommation,
attisent le mépris, la haine et la violence d’une minorité de ces
néo-arrivants contre le Système Politico-Social Occidental, que
l’on voit s’affaiblir. Finalement, un véritable racisme
anti-blanc s’est développé, dans les villes et à leur
périphérie, dont souffrent principalement les Petits Blancs,
puisque les « grands » Blancs tiennent encore les rênes
du pouvoir et en sont protégés dans leurs quartiers. Pour le
moment !
La rancœur de
certains immigrants déçus et surtout la haine de leurs descendants
pour le pays d’accueil, qui est souvent en plus leur pays natal,
sont de plus en plus palpables. Finalement, on aboutit au paradoxe de
fils et petits-fils des nombreuses personnes ayant immigré, pour des
raisons matérielles, critiquant et dénigrant tout ce qu’ils
voient dans les pays d’accueil. Ils détestent la culture de leurs
habitants dits « de souche », qu’ils appellent
« souchiens », pour essayer d’être drôles.
D’une part, la considération
réclamée par les immigrés ne se décrète pas, elle se mérite.
Si des individualités, issues de notre
immigration, prennent l’ascenseur social, grâce à leurs qualités
personnelles, et s’intègrent naturellement dans le système
occidental, une bonne part de nos immigrants, devenus citoyens
français, végète et ne souhaite pas se fondre dans le tissu social
de souche. Pourtant leur descendance sera française automatiquement.
Les jérémiades et lamentations du début sont devenues maintenant
des récriminations.
D’autre part, une relative
réciprocité leur impose de respecter, eux aussi, l’autochtone et
sa culture.
Les associations de défense
communautaire se sentent assez fortes pour envisager même de
modifier le mode de vie des autochtones. Notre immigration a atteint
la masse critique, suffisante pour changer la donne sociale. Une
colonisation africaine de l’Europe est en marche... forcée, depuis
le début du XXI° siècle. C’est le contraire de l’intégration.
Cela devient une extégration*.
Nous avons fait pendant quarante ans le
contraire d’un nettoyage ethnique. Appelez-le comme vous voudrez.
En fait, nous avons jeté les bases d’une véritable substitution
sociale sur notre territoire, sans le savoir. Ce bouleversement
irréversible, déjà mal perçu par la population, montrera ses
vrais effets délétères vers la fin du XXI° siècle. Cette
immigration-invasion rapide, incontrôlée et incontrôlable, dans
les conditions politiques du début du siècle et si malvenue dans
les conditions économiques du moment, a entraîné la montée d’une
réaction populaire, sans que nos dirigeants aient compris que cela
pouvait créer des difficultés sociales graves.
* L’extégration représente le
contraire de l’intégration. Elle tend à modifier le mode de vie,
les habitudes et la culture des autochtones d’un pays, en fonction
de celles des nouveaux arrivants. C’est l’autochtone qui doit
« s’extègrer » dans le moule culturel de l’allochtone.
7)
Le racisme .
Il faut accepter de parler des
problèmes qui fâchent : de races, de racisme, de groupes
ethniques, de communautarisme et d’en traiter franchement et
raisonnablement, sans la menace des lois scélérates et de procès
intentés par des associations subventionnées pour cela.
Envisageons
donc, en toute franchise et si possible sereinement,
« cet instinct dont parfois nous médisons sous le nom de
racisme. » J. Perret dans
« Belle lurette ».
Le mot racisme tel qu’il s’entend
aujourd’hui n’a rien à voir avec l’acception qu’il avait au
temps de Darwin, Ferry et Blum. En France, le racisme était
quiescent depuis bien longtemps et notre pays méritait son
qualificatif de terre d’accueil.
La
plus belle preuve en est donnée par la foule qui acclame à tout
rompre, lors du défilé du 14 juillet sur les Champs Elysées, la
Légion Etrangère, formidable école d’intégration sociale pour
des légionnaires de plus de 200 nations différentes et qui ne sont
pas tous des anges.
Les associations anti-racistes ont
contribué, par leurs exagérations stupides, leurs revendications
outrancières et les procès insensés qu’elles intentent à tout
bout de champ, à refouler toute réflexion sur le racisme, de
l’expression publique où elle pourrait être canalisée, à la
pensée qui reste privée voire intime, où elle se réfugie, se
terre, se dissimule et laisse alors les pulsions animales prendre le
dessus. L’actuelle obsession antiraciste, artificiellement
entretenue par les manipulateurs d’opinion, n’a absolument pas
fait avancer la réflexion sur le racisme. Au contraire !
Comme disait l’Abbé Pierre : « Il
faut quand même pouvoir dire à un Juif qu’il chante faux sans
que ce soit de l’antisémitisme ! » Ceci devrait
être valable pour toutes les ethnies imaginables.
Qu’il y ait une tendance innée de
chaque individu à fréquenter des personnes du même groupe social
et de même affinité, de même langue, de même socle ethnique,
religieux, culturel est prouvé par le mode de constitution
habituelle des groupes sociaux et se trouve confirmé par le
communautarisme actuel. Plus les périodes sont troublées ou
violentes, plus ces phénomènes d’agrégation communautaire se
manifestent.
La pensée correcte (PLOUC) a diabolisé
la discrimination en la présentant comme le premier pas vers
d’éventuelles brimades, alors qu’il s’agit seulement de
distinguer des différences.
Le racisme doit être considéré comme
un continuum et non pas comme un état mental fixé. On n’est pas
raciste ou anti-raciste. On est plus ou moins raciste, plus ou moins
souvent, plus ou moins gravement, en fonction de sa culture sociale,
de son éducation familiale, de ses tendances personnelles et surtout
des circonstances.
Entre la perception par le bon sens de
différences évidentes sur l’aspect, le comportement, la culture
et les modes de vie des races ou des ethnies humaines et la
théorisation d’une éventuelle supériorité raciale, voire de la
persécution d’un groupe social, il existe un abîme.
C’est pourquoi il semble plus
logique, et probablement plus efficace, pour réfléchir aux
conséquences sociales du racisme, de distinguer l’anodin du grave.
La frontière entre ces deux aspects du racisme devrait être mieux
balisée et tout franchissement vers le grave sévèrement puni.
Le racisme anodin constate des
différences morphologiques et de comportement entre les différents
groupes ethniques, les analyse éventuellement, les intègre dans la
diversité biologique, mais s’astreint, par un effort de la volonté
et de l’intelligence à la discrétion, à la courtoisie et au
respect de l’autre. Les individus ne sont pas égaux ; ils
sont différents. Les peuples aussi.
Cet effort est plus facile pour ceux
qui ne se sentent en rien menacés par ces différences de
comportement et qui les voient de très loin.
C’est plus difficile pour ceux qui y
sont confrontés, par force, dans la vie de tous les jours.
En clair, il est plus facile de ne pas
avoir de pulsions racistes quand on habite le VII° arrondissement de
Paris que lorsqu’on est un Français expatrié en Côte d’Ivoire
au moment où les Patriotes du Président Gbagbo vociféraient dans
les rues d’Abidjan qu’ils voulaient manger du Blanc !
Le racisme grave, pervers, haïssable
et punissable, commence quand une des trois actions
suivantes se manifeste.
- Apparition, dans le niveau de langage privé et à plus forte raison public, d’une hiérarchisation, que l’on prétend objective, de différences morphologiques ou comportementales, entre des races pour établir un ordre, avec des supérieurs et des inférieurs.
- Utilisation de l’appartenance d’un individu à un groupe social pour lui attribuer obligatoirement certaines caractéristiques attribuées à ce groupe social.
- La perversion raciste s’aggrave vers le démoniaque lorsque ces jugements de valeur débouchent sur des insultes ou des brimades, des brutalités, des raquets ou des sanctions, des meurtres ou des génocides, décidées par certains hommes contre d’autres hommes ou groupes ethniques.
La première erreur de nos politiciens
a été de combattre le racisme trop en aval. Par exemple, en ne
procurant que des gilets pare-balles aux policiers engagés contre
les saccages des banlieues par des groupes de jeunes voyous
ethniquement homogènes ou d’émeutiers communautaristes.
En amont, la deuxième erreur
politique a été de sanctionner des vétilles.
Bref, il a été stupide de s’attaquer
à « Y a bon Banania » ou à « Tintin au
Congo » et d’interdire toute statistique ethnique ou
religieuse ! Pour ne pas voir que la fièvre montait, nous avons
cassé le thermomètre !
En fait, au lieu de distinguer le
racisme anodin du racisme pervers, la pensée dominante (PLOUC) a
admis que la gravité du racisme était liée au sens dans lequel il
s’exerce.
La post-modernité occidentale est
devenue sectaire et n’en est plus à un paradoxe près. On nous
glisse subrepticement l’idée saugrenue qu’il existerait un
racisme acceptable, qui serait compensatoire des méfaits de
l’histoire. Pire même, le racisme pourrait être jugé utile.
Un racisme social compensatoire se manifeste par la discrimination
positive, pour permettre à des minorités d’être artificiellement
représentées par des quotas. Ce racisme politique, redistributif,
légal et obligatoire va à l’encontre de la vraie méritocratie,
mais se drape dans le voile de la justice sociale. Il a surtout un
effet dévalorisant pour ce type de promotion que les plus brillants
des minoritaires perçoivent et déplorent.
Les Français
autochtones, dits « de souche », sont-ils racistes ?
Pour faire passer la pilule d’une
immigration-invasion massive et rapide aux autochtones, les autorités
ont d’abord sous-estimé publiquement son abondance. C’était
mentir.
Puis les pouvoirs publics ont minimisé
son coût pour le budget national. Les menteurs devenaient
récidivistes !
Enfin, ces « menteurs-récidivistes² »
nous ont vanté les potentialités de la France Black-Blanc-Beur,
dans le cadre d’une Europe métissée. Le terme était impropre,
mais il a été adopté parce qu’il sonnait bien !
Mais l’extégration, qui se profile
dans certains quartiers, pourrait devenir redoutable pour la
population autochtone. L’extégration est toujours précédée par
le communautarisme, mais heureusement le communautarisme ne mène pas
toujours à l’extégration.
8) La place particulière
de l’islam dans notre immigration.
Parmi tous nos immigrants, les
musulmans sont les plus nombreux. Dans ce raz-de-marée,
l’islam lui-même pose, à l’évidence, un problème social
particulier. Une petite minorité de voyous de banlieue, trafiquants
de drogues et quelques extrémistes religieux, violents, agressifs
et arrogants, mais se considérant comme les vrais musulmans,
focalisent contre eux le mépris et le désaveu de la majorité des
autochtones et des autres minorités ethniques. Mais il est difficile
de séparer le bon grain de l’ivraie, car il existe une solidarité
évidente des musulmans entre eux, liée à l’islam lui-même.
L’omerta est de rigueur. C’est pourquoi par une simplification
abusive, beaucoup de Français mettent tous les musulmans dans le
même sac. Ils considèrent que l’islam ne doit pas avoir, sur
notre territoire, la place qu’il a acquise grâce à la complicité
des zélites depuis un quart de siècle.
Chez nous, beaucoup de musulmans
immigrés ont acquis la nationalité française et il faut s’attendre
à voir encore augmenter leur poids démographique, en France et en
Europe, grâce à un taux de natalité supérieur à celui des
autochtones.
Ainsi, l’islam habituel, « normal »,
s’est implanté solidement en France. Il est le drapeau, le point
de ralliement, le signe de valorisation, la marque d’identité de
beaucoup d’immigrés, qui souffrent d’un supposé manque de
respect ou de reconnaissance. Il a permis aussi à quelques voyous ou
bandits de grand chemin de se donner bonne conscience en justifiant
leurs sales coups et leurs trafics par le djihad, la guerre sainte
qui est une lutte permanente contre les infidèles. L’islam est
bien représenté dans les prisons et y manifeste un grand
prosélytisme vis-à-vis des autres condamnés.
En France, l’assimilation des
immigrants musulmans qu’espéraient les politiciens n’a pas été
possible, parce qu’ils n’envisagent pas du tout de perdre leurs
habitudes, leur culture et leurs croyances religieuses. Pourtant
cette assimilation s’était globalement très bien passée
avec des italiens, espagnols, portugais au début du XX ° siècle
et avec un million de pieds-noirs réintégrés sans l’ombre d’un
problème en métropole, en 1962. Mais l’extrapolation de ces
succès d’assimilation nous a trompés. Cela n’est pas arrivé
avec les musulmans en France.
Le politiquement correct de la gauche
bien pensante voulait que cela fût, mais cela n’a pas été.
« Ce n’est pas la droite qui
est réactionnaire, ce sont les faits ! » L. Joffrin
(Libération).
Il y a des immigrations compatibles
avec ce que nous sommes et d’autres qui ne le sont pas dès
qu’elles dépassent un certain seuil quantitatif. Il se situe
autour de 10-15 % de la population totale. A ce niveau quantitatif,
l’islam est incompatible avec la civilisation européenne.
Nos zélites espéraient que la
mayonnaise sociale prendrait en Europe grâce à nos valeurs
républicaines et « humanistes ». Il n’en a rien été.
Comme c’est le cas dans toutes les sociétés multi-ethniques,
multi-culturelles et multi-religieuses, le panorama social est devenu
et restera probablement longtemps chaotique.
Tant qu’il est minoritaire l’islam
se cantonne dans des jérémiades et des lamentations permanentes.
Mais, dès qu’il se sent en position de force, l’islam,
et pas seulement l’islamisme, s’oppose radicalement aux
habitudes européennes, à la culture judéo-chrétienne, aux
principes moraux de l’Occident et à l’organisation politique
communément admise en Europe.
L’incompatibilité est devenue
évidente entre l’abondante présence sur le territoire européen,
d’un islam même provisoirement apaisé et du Système Politique et
Social Occidental. Cette théocratie ne peut s’accommoder de
nos mœurs, de nos valeurs traditionnelles sociales et de notre
culture en général. L’islam n’est pas seulement une religion,
qui suppose la soumission de ses adeptes à la volonté d’Allah
mais c’est en plus un système politico-social très rigide qui a
pour but avoué de s’imposer au monde entier. Les dogmes de
l’islam gênent et empêchent même l’insertion harmonieuse
des musulmans qui le souhaitent dans une démocratie laïque.
« Il n’y a aucune culture à
laquelle l’islam s’oppose avec autant de force que la culture
chrétienne. » E. Balladur dans « La fin des
illusions jacobines ».
Entendant ce
genre de discours, un rugissement bestial jaillit de la foule des
intellectuels branchés, des endoctrinés idéologiques, des bobos
intellos, des idiots utiles ou pas, des professionnels de
l’anti-racisme sélectif et de ceux qui radotent à la télé sur
la soi-disant xénophobie des Français de souche … Les médias, la
plupart des politiciens, tous les syndicalistes, beaucoup de
fonctionnaires …en un mot, les hordes de la bien pensance
senestre, sonnent le hallali pour culpabiliser et punir le pauvre
franchouillard qui aurait l’impudence de dériper ainsi.
La vérité définitive sur ce sujet a
déjà été établie par leurs soins et les lois répressives de
la République Française punissent de fortes amendes, voire de
prison ceux qui voudraient évoquer les difficultés réelles. Pour
enterrer le problème, les élites, prisonnières de leur idéologie,
n’ont pas trouvé mieux que d’interdire d’en parler car ce
serait promouvoir le racisme. La France, pays de liberté ?
Laissons le calme revenir, laissons
baisser l’adrénalinémie des bien-pensants et reprenons.
Timidement, quelques intellectuels
osent se demander si ce ne serait pas inhérent à l’islam lui-même
et aux comportements fatalistes qu’il induit chez ses fidèles.
« Inch Allah » ne se
traduit pas exactement par « aide-toi, le ciel t’aidera ! ».
On peut aussi émettre l’hypothèse
que les sociétés islamiques en excluant presque complètement les
femmes, s’amputent d’une bonne partie, probablement de la moitié
de leur potentiel cérébral, dans tous les domaines. Mais on entend
peu les féministes sur ce sujet !
Les contrastes entre l'islam
religieusement arrogant, démographiquement floride, socialement
revendicateur et industriellement peu productif intrigue beaucoup
d'observateurs. Pourtant, par un hasard phénoménal ou par la
volonté d’Allah, les musulmans sont assis depuis des siècles sur
les plus importantes ressources mondiales en pétrole et en gaz.
Au tout début du XXI° siècle,
malgré les avertissements de beaucoup de spécialistes de l’islam,
il était politiquement correct de distinguer l’islam et
l’islamisme.
Ainsi, en ces premières années 2000,
tout le monde devait accepter l’idée « correcte » que
l’islam modéré, tolérant et moderne, existait vraiment et serait
compatible avec un état laïc. Bien sûr, tout le monde constatait
que les modérés représentaient l’immense majorité des
musulmans, au moins en temps de paix sociale et parce que l’islam
dans son ensemble était encore très minoritaire dans la société.
Mais presque personne ne se demandait comment cette majorité
silencieuse de musulmans s’orienterait, s’ils devenaient
majoritaires dans certaines parties de l’Europe ou si la lutte
s’intensifiait entre les Occidentaux et les Islamistes.
L’islam de France, contenu par
les « valeurs » de la République, n’a existé que dans
l’esprit de Sarkozy.
Par contre, l’islamisme était
présenté comme un « fondamentalisme médiéval »
(médiéval a pris de nos jours une connotation péjorative
absolument injustifiée) qui ne pouvait que s’opposer violemment à
la modernité occidentale et engendrer de la violence, des attentats
ou des conflits partout où cela était possible.
Les démocraties sont des régimes
ouverts, donc fragiles.
Le terrorisme, que l’on assimilait à
l’islamisme, il fallait le détruire, sans faire le moindre
amalgame avec la masse de musulmans « modérés » vivant
sur nos territoires.
C’est pour cela que les Occidentaux
sont allés guerroyer, sans grand résultat, en Somalie, en Irak, au
Mali, au Tchad, en Afghanistan et même au Pakistan. Ultérieurement,
nos zélites n’ont pas eu honte de négocier avec les fanatiques
qu’ils avaient combattus. Toutes les préoccupations des
Occidentaux à cette époque étaient de maintenir les meilleurs
rapports possibles avec l’islam modéré.
Les optimistes espéraient que le mode
de vie occidental finirait par gommer les aspérités de l’islam
théocratique et que tout cela aboutirait à une intégration
progressive et à une adaptation des musulmans aux valeurs humaines,
morales et politiques de l’Occident. C’était ce qu’on
pourrait appeler le vœu pieu du républicanisme : les
valeurs de la république laïque seraient tellement attractives
qu’elles arracheraient les plus croyants aux mythes religieux. La
conversion par la consommation ! En pratique, l'islam, même
modéré, s’est durci sur ses dogmes et dans ses rites, au fur et
à mesure de son implantation européenne. Des imams islamistes,
se considèrant comme les vrais musulmans, en profitent pour
rigidifier les pratiques religieuses de tous.
L’arrivée de nombreux imams
étrangers puis les confrontations avec d’autres groupes
communautaires et avec les règles laïques ont accentué le
durcissement. C’est un résultat paradoxal et surprenant, mais qui
est devenu évident. L’islam a servi de ciment aux communautés
africaines immigrées. Il leur a donné des raisons apparemment
valables pour s’opposer aux habitudes des autochtones. En plus
d’être une communauté de religion, l’islam a su créer chez la
masse de ses déracinés une espèce de « nationalité
musulmane » qui sert d’étendard ou de cache-misère,
d’emblème de fierté, à des populations qui se croient humiliées
par le passé colonial. Il est devenu un dénominateur commun
valorisant, une bannière respectable. L’occident n’a pas compris
que l’islam est bien plus qu’une religion.
Finalement, en Europe, l’islam
modéré n’a été que le cheval de Troie, qui a donné à
l’islam traditionnel, agressif et prédateur depuis toujours, le
temps et les moyens de pénétrer en douceur dans nos sociétés,
sans trop de remous sociaux, quant il était encore faible.
L’immigration musulmane est un autre
monde culturel qui s’introduit chez nous, sans grande envie de
s’intégrer ou même de s’adapter. Au contraire, l’idée
encore dissimulée par leurs éléments les plus actifs est de
modifier les habitudes, la culture et la religion des autochtones
pour les faire coïncider avec les enseignements de l’islam,
c’est-à-dire en faire des dhimmis, des soumis. Ce serait
l’extégration qui représente le contraire de l’intégration.
Elle tend à modifier le mode de vie, les habitudes et la culture des
autochtones d’un pays, en fonction de celles des nouveaux
arrivants. C’est l’autochtone qui doit « s’extègrer »
dans le moule culturel de l’allochtone.
Dans tous les processus sociaux
brutalement évolutifs (révolution française, russe,
cambodgienne…), ce sont les extrémistes qui ont prévalu jusqu’à
l’effondrement, parce que la raison n’est jamais l’élément
directeur d’un mouvement de foule brutal.
La laïcité, qui distingue les
domaines de Dieu et de César, est acceptée par les chrétiens
depuis toujours, mais refusée par les musulmans qui considèrent
qu’il n’y a de place que pour Allah.
Ben Laden déclarait sur la chaîne de
télévision américaine ABC, en janvier 1999 : « Le
juste est ce que notre religion considère juste, le mal est ce que
notre religion considère mal ».
Les masses sont manipulables, qu’elles
soient musulmanes ou autres. Mais la susceptibilité des masses
musulmanes vis-à-vis de l’Occident est à fleur de peau. Le grand
Satan ! L’étincelle !
L’islam est fondé sur un texte
attribué à Allah : le Coran.
Il est bourré de contradictions, ce
qui permet des interprétations variées de ses sourates, car il n’y
a pas d’autorité théologique absolue dans l’islam.
Néanmoins, beaucoup le considèrent
comme intangible, car il émane directement d’Allah. L’islam
néglige le concept de personne, qui est une notion éminemment
chrétienne. La liberté de décision de l’individu a peu de place
dans l’islam, qui impose une soumission à la volonté d’Allah.
L’islam avance masqué en Europe.
Dans l’histoire, l’islam a toujours
voulu imposer à tous sa vision dogmatique et fataliste du monde.
Par le fer et par le feu, s’il le fallait ! Bessif !*
L’Europe, qui au cours de l’histoire
a tant lutté contre les agressions musulmanes, devrait le savoir.
Maintenant, les musulmans peuvent même laisser le sabre au fourreau.
En effet, en démocratie, le nombre est le moyen le plus efficace
pour s’imposer. Le rapport numérique permettra bientôt le choc
de civilisations !
L’idée, politiquement correcte en
2000, qu’une immigration massive, à très forte prédominance
africaine et musulmane, devait être « une chance pour la
France », apparaît maintenant comme une grave erreur de
jugement politique.
On peut même dire que cela a été
une faute politique caractérisée.
*Bessif : Par
le sabre, en Arabe.
9) Ce que nos politiciens ont
dans la tête mais ne disent jamais en public.
Tous les politiciens élus, à quelque
poste que ce soit, ont comme but immédiat de rester aux affaires à
la prochaine élection.
Les politiciens de gauche considèrent
que la réalité et les faits sont bien embêtants parce qu’ils
sont tenaces et font capoter, tôt ou tard, leurs élucubrations
théoriques. Notre rôle, pensent-ils, est de faire rêver la
population. En ce sens, nous agissons pour le bien commun. Bien sûr
nous en tirons des avantages et des privilèges personnels, mais ce
n’est que justice, parce que nous détenons l’exclusivité du
jugement moral et des bonnes idées ; nous décidons de ce qui
est bien ou mal ; nous sommes l’esprit qui éclaire la
plèbe ! Nous sommes souvent des optimistes tristes.
Les politiciens honnêtes de la
« droite mollard » (UMP) { il y en a quelques uns}
essaient de gérer la réalité et le possible. Nous n’y arrivons
pas toujours, se lamentent-ils, et surtout nos actions ne font rêver
personne. Pour nous maintenir, il faut faire des concessions à la
gauche sur le plan moral et sociétal. Les malhonnêtes savent bien
que leur cupidité ou leur arrivisme menace leur carrière, mais
c’est plus fort qu’eux ! Finalement un libéral pense que
pour faire bien dans un débat, il lui faut reconnaître que son
adversaire a raison sur la théorie et il cède sur tout ou presque
en pratique !
A l’extrême gauche, on espère le
« grand soir », ce qui donnerait enfin une chance à
leurs pantins décérébrés mais forts en gueule.
Le marxisme a toujours échoué
partout, mais on ne sait jamais, espèrent-ils, et puis quel
instrument de pouvoir et de prébendes !
Tous ces partis sont d’accord pour
s’acharner sur l’extrême droite.
Pourtant, en France, il n’y a pas
d’extrême droite au sens « brun » du terme. Ce que les
médias, Mélenchon et l’UMPS appellent péjorativement l’extrême
droite n’existe pas sous forme de parti politique.
Le FN est un parti de droite nationale,
qui considère avec quelques arguments que tous les politiciens aux
affaires sont pourris. C’est commode car ils n’y ont encore
jamais été !
Nous sommes, disent-ils, la vraie
opposition à l’UMPS car notre programme est le seul à tenir
compte de l’échec latent de l’Union Européenne et patent de
l’euro. Nous devons encore lutter pour notre respectabilité
politique, que les autres partis nous refusent par calcul
machiavélique, en espérant que ce combat ne nous fera pas perdre
notre ligne politique. Notre bon sens nous impose de considérer et
de traiter les réalités dramatiques et les menaces imminentes qui
planent sur la France.
Les gens de droite sont en général des pessimistes mais heureux !
Tous les politiciens savent mais ne disent jamais que
les démocraties ont toujours été fragiles et que la complexité de
notre système politique et social actuel, qui atteint souvent
l’incohérence voire l’absurdité, rend maintenant la France
ingérable et ingouvernable. La France est en faillite évidente mais
encore cachée.
Comme un cycliste qui ne voudrait pas
changer son vieux "boyau", ils se cantonnent dans l’art de mettre
toujours plus de rustines sur des chambres à air vétustes et usées
jusqu’à la corde.
Pour durer : pas de nouveauté et
pas de vague !
Du palliatif de dernière minute et
rien de curatif pour le long terme.
De réformettes en réformettes la France s’appauvrit, s’essouffle et perd pied. Sa population, indifférente et insouciante parce qu'abreuvée de foutbol et de variétés débiles, ne se rend pas compte que la catastrophe peut survenir à tout moment. Nos élites sauront habilement masquer leurs responsabilités au moment des comptes et l’addition sera payée, comme d’habitude, par la couche moyenne de la société taillable et corvéable à merci.
De réformettes en réformettes la France s’appauvrit, s’essouffle et perd pied. Sa population, indifférente et insouciante parce qu'abreuvée de foutbol et de variétés débiles, ne se rend pas compte que la catastrophe peut survenir à tout moment. Nos élites sauront habilement masquer leurs responsabilités au moment des comptes et l’addition sera payée, comme d’habitude, par la couche moyenne de la société taillable et corvéable à merci.
10) En
attendant l’accroc…
En 2007, Fillon, Premier Ministre,
reconnaissait publiquement qu’il gouvernait un pays en faillite. La
dette publique était immense et, en 2013, elle a encore augmenté,
pourtant Hollande,Président de la République, nous explique que tout va bien.
Un des deux fait sûrement une erreur
de jugement !
La théorie du chaos stipule qu’un
simple battement d’ailes de papillon peut déclencher, par un
enchaînement imprévisible mais inexorable d’évènements, un
typhon à l’autre bout du monde. Encore faut-il que l’état des
lieux soit propice, qu’un certain nombre de conditions soient
réunies, pour qu’une étincelle puisse embraser la savane entière.
Comme tout est lié dans le monde moderne et que tout ou presque est
instable, on peut craindre maintenant que le moindre accroc social,
financier ou économique puisse déclencher par un simple effet de
dominos, une succession de défaillances aboutissant au chaos.
En France, dans l’Union Européenne
puis dans le monde… ou inversement.
Rappelons la différence entre un
équilibre stable et instable. Un système sain est stable. De
petites variations de ses paramètres sont automatiquement corrigées.
Si le système devient malsain, il devient aussi instable. Si une
modification de paramètres n’est pas rapidement corrigée par les
dirigeants, elle s’auto accentue spontanément.
Personne ne sait quand cet accroc va
survenir. Beaucoup pensent qu’il ne va pas tarder. Mais tous sont
convaincus qu'il est inéluctable.
Pourquoi ?
Parce que les conditions d’instabilité
de notre Système Politico-Economico-Socio-Financier (PESF !)
sont réunies en France pour rendre possible cet effondrement. Malgré
tous les efforts des politiciens pour mettre en route tous les
palliatifs possibles pour prolonger la survie du Système qui leur
confère tant de privilèges.
L’instabilité financière est la
plus évidente : des montagnes de dettes sont garanties les unes
par les autres. Nous sommes en faillite virtuelle. L’euro et le
dollar sont des morts vivants.
L’instabilité économique est
attestée par le fait que la France est en récession ou en
stagnation. Peu d’arguments plaident pour une reprise franche même
à moyen terme.
Les mêmes causes dans les mêmes
conditions produisent toujours les mêmes effets.
L’instabilité sociale vient d’une
société démantelée en communautés, qui s’insurgent violemment
au moindre prétexte contre les forces dites de l’ordre. La France,
coupée en deux par les choix sociétaux, est exaspérée par les
simagrées des politiciens. Elle devient soucieuse de cette
immigration-invasion mal intégrée et revendicatrice.
L’instabilité politique est liée à
l’incompétence des gouvernants devant une situation difficile et à
la domination des partis et des syndicats.
Aux échecs, nous serions échec et
pat !
Alors, « aux grands maux, les
grands remèdes » disait Shakespeare.
Mais nos politiciens préfèrent encore
le thermocautère sur la jambe de bois !
Notre système politique rend
impossible toute décision voulant être brutale et éventuellement
efficace. Il était adapté pendant des périodes calmes et sereines
pour empêcher l’émergence d’un homme fort et décidé à
changer les choses. On avait peur de la montée du fascisme ! Il
a défendu la démocratie, ses multiples institutions et sa litanie
de verbiages. En effet, il favorise l’accession au pouvoir des
politiciens pépères et roublards, des capitaines de pédalos, des
mous, des torves, des girouettes, des arrivistes, des laxistes… Les
vrais hommes d’état ont disparu du paysage. Ils ne s’engagent
plus en politique. Le Système PESF est devenu tellement complexe que
les réactions d’un gouvernement dépendent de nombreux
intervenants jamais d’accord et même pas forcément cohérents sur
le but à atteindre. Ingouvernable et ingérable !
Pourquoi ce sera grave pour la
population ?
Parce que nous sommes coresponsables de
cette évolution du Système par nos votes, notre passivité et
souvent par notre désintérêt pour la politique. Nous avons trop
pris le "Parti d’en rire" alors qu’il fallait réagir.
Les Etats ont renfloué les banques (au
moins certaines), puis les banques ont renfloué les Etats (plus ou
moins complètement) et bientôt ce sera, comme toujours, au tour des
contribuables de payer l’addition. En se paupérisant !
Plus tardif sera l’accroc décisif,
l’étincelle perfide, le traître remous, moins il aura besoin
d’être important pour être efficace, c’est-à-dire déclenchant
et délétère.
Mais plus tardif il sera, plus graves
seront les conséquences de l’effondrement.
Jacques Bainville assurait qu'il était facile de prévoir des évènements, mais qu'il ne fallait jamais en prédire la date ! Rassurez-vous néanmoins, les
historiens nous enseignent que les périodes de décadence ont été
les plus agréables à vivre. Tout le problème est de savoir combien
elles peuvent durer !
lundi 22 juillet 2013
Peut-on croire un gouvernement en général et doit-on croire le nôtre en particulier.
Non ! Je ne vais pas vous parler
de Cahuzac, sinon indirectement.
Pour donner un peu de poids à ma
démonstration, je me ferai aider par deux spécialistes :
Sir Winston Churchill : « Je
ne crois aux statistiques que lorsque je les ai moi-même
trafiquées ! »
Haroun Tazieff, ministre, sur A2 le 30
décembre 1991 : « Méfiez-vous des chiffres officiels,
quel que soit le pays qui les publie ».
Cahuzac affirmait pour sa défense qu’on
lui reprochait plus d’avoir menti devant les députés pendant quelques
minutes sur ses comptes personnels, que d’avoir menti au
peuple, pendant un an, à la demande du Président Hollande, sur les
comptes de la nation. Il avait raison : la gravité d'un mensonge dépend beaucoup des circonstances. Mais
son tort principal a été de manquer de ténacité. Quand on ment,
il faut rester cohérent d’un bout à l’autre (ce qui est
difficile) et surtout il ne faut jamais avouer. Il fallait nier et
l’affaire aurait bien fini par disparaître des écrans.
Est-ce que Moscovici a traîné les
pieds pour le poursuivre ? Il dit que non mais des doutes
persistent dans la commission parlementaire.
Hollande savait-il depuis longtemps ?
Il nous jure que non. Bon, alors ça va !
La réunion à l'Elysée du 16 janvier 2013 intrigue.
Le gentil Manuel Gaz ne publie pas le
compte rendu des « incivilités » survenues lors du 14
juillet 2013 parce qu’il s’avère catastrophique. « Le
point » en fait état. Mensonge par omission+++
Le même sinistre jure ses grands dieux
qu’il n’y a pas eu de caillassage des pompiers, de vols ou de
détroussements de voyageurs, morts ou vivants, lors de l’accident
de Brétigny. On voudrait le croire, mais on a du mal. Le type qui
compte 300 000 manifestants là où tout le monde en voit un
million n’est plus crédible. Qui a menti, mentira !
Notre bon Président « a la
conviction que la crise est finie ». Qui peut bien le croire ?
C’est un vœu pieu qu’il doit répéter tous les soirs en faisant
sa prière. Mais comme on ne lui a pas encore expliqué :
- qu’il s’agissait d’un véritable affaissement de l’Occident (économique, financier, social et « sociétal » pour parler branché) et notamment de l’Union Européenne, telle qu’elle est conçue actuellement
- et que cela durera plus longtemps (automne 2007- ?) qu’une simple crise conjoncturelle, il a peu de chances d’avoir raison.
Bien sûr son ministre du travail lui
bricolera quelques statistiques, en fin d’année, pour montrer que
la courbe du chômage s’infléchit. Mais qui le croira ?
Pour cogner un peu sur la droite
mollasse, certains continuent de croire que Sarkozy a passé son
quinquennat à mentir à ses électeurs et à la France. Le top du
top est quand même l’invention par Mme Lagarde de la croissance
négative !
Pour faire un petit tour en Grande
Bretagne, D. Cameron affirme que les retombées des Jeux Olympiques
de Londres qui avaient coûté à la société une dizaine de
milliards ( de livres ou d’euros, je ne sais plus) en avaient
rapporté 11. Il n’en sait rien, parce qu’il est très difficile
d’évaluer ces retombées. Il affirme ce qui lui convient.
Arrêtons-nous là. Nos
gouvernements ont pris l’habitude de nous mentir en arguant sans
arrêt de transparence ! C’est un fait. Ce qui est plus
ennuyeux, c’est qu’il devient interdit de le leur dire.
Pour me contacter, n'hésitez pas : bexjeanpierre@gmail.com/
Pour me contacter, n'hésitez pas : bexjeanpierre@gmail.com/
Inscription à :
Articles (Atom)