samedi 19 décembre 2015

De retour dans une France grise...


De retour dans une France grise, morose, anxieuse et encore traumatisée, voici une brève relation des faits marquants de notre voyage d'un mois en Namibie, Botswana et Zimbabwé en camping sauvage dans une tente fixée sur le toit du 4x4 que nous avions loué. Système très ingénieux, facile à monter et surtout  assurant une protection contre les serpents, scorpions et autres bêtes désagréables. En effet, nous ne partions pas, ma femme et moi, pour voir des animaux mais il y en a tellement qu’ils s’imposent à vous. Des lions, des guépards, des antilopes de toutes sortes, des girafes, des rhinos, des éléphants… sans oublier les crocos et les hippos qui pullulent dans toutes les rivières. Une certaine prudence s’impose.

Tout d’abord les chutes Victoria : le Zambèze se jette dans une crevasse profonde de 125 m dont il sort par un canyon tortueux. Il n’y avait pas beaucoup d’eau à cette époque de l'année mais cela reste impressionnant (surtout vu du côté Zimbabwé) et émouvant (étape de la ligne aérienne de pionniers BOAC entre Le Cap et Le Caire et surtout statue de Livingstone découvreur de chutes dont l’attention avait été attirée par le nuage de brume qui monte au ciel en période de hautes eaux). En amont sur le Zzambèze, la veille, je m’étais confronté, avec succès maispar ligne interposée, à un poisson tigre aux dents impressionnantes et à la défense musclée !
Deuxième attraction tellurique : le delta de l’Okavango. Autre rivière venant des collines de l’Angola et qui s’éparpille dans un véritable delta avant sa disparition dans le désert du Kalahari. En fait, c’est un semi désert qui regorge d’animaux sauvages et qui permet aux éleveurs botswanais de produire une excellente viande de bœuf. Survol en hélico de ce marais géant, coucher de soleil magnifique, pas de moustique et whisky vespéral pour avoir l’impression de vivre « Out of Africa » !
Longue descente vers le sud et le canyon de la Fish River qui se jette dans l’Orange river pour faire la frontière avec l’Afrique du sud. Comme une sécheresse préoccupante frappe depuis deux ans ces pays, la rivière n’est plus qu’une succession de mares (autant de points d’eau pour les animaux) mais le canyon reste majestueux par sa longueur et sa profondeur.
En revenant vers le nord on traverse le désert du Namib, véritable désert de sable avec des dunes à perte de vue, mais ici encore on trouve quelques éleveurs qui possèdent des propriétés clôturées dont la surface s’évalue en milliers d’hectares. L’Europe apparaît petite devant ces immensités de liberté totale.
La zone côtière est interdite car diamantifère et la De Beers veille à ce que personne ne puisse lui subtiliser quelques diamants (qui sont surtout recherchés en offshore maintenant). Namibie et Botswana sont les deux premiers producteurs de diamants du monde.
Après les déserts, la réserve d’Etocha à peine plus verte mais où les animaux sont tellement nombreux que l’on donne, parait-il, des pilules contraceptives aux lionnes. Si c’est vrai, c’est une preuve de plus de l’absurdité de l’influence occidentale sur l’Afrique.
Tout au long du voyage (trois millions d’habitants pour une superficie double de la France et refus presque systématique des immigrants !) contact facile avec les blancs et les noirs, en anglais qui est la langue officielle. Mais la marque germanique reste forte sur cette ancienne colonie allemande (jusqu’en 1915) : routes bien indiquées, profusion de pâtisseries et « d’appfelstrudels ». Pas énormément de touristes  en ce moment ; les Sud-Africains arrivent pour Noël ; lodges parfois luxueux et chers mais partout camping presque sauvage à très bon marché.
En un mot voyage qui marque par la beauté des paysages, les différentes ethnies rencontrées, la gentillesse des gens, l’alternance de rustique « dur » puis de luxe soigné.
Nous avons fait le projet, ma femme et moi, d’y revenir si Dieu nous prête vie ! Je vais tenter d'insérer  quelques photos mais pour cela il faut que je puisse rencontrer mon prof d'informatique. Hasta pronto !

lundi 2 novembre 2015

Avis de vacance.

Je pars avec ma chère femme pour un mois (tout  novembre) en Afrique australe. Namibie, Botswana et Zimbabwé... Je vous raconterai au retour si les hyènes et les léopards ne nous mangent pas.
Que le vaya bien ! JPB

mercredi 23 septembre 2015

Malheureux du monde entier ! Venez profiter des places de réfugiés politiques en Europe.




Les politiciens européens, docilement soumis à l' influence de la Super Classe Mondiale, ont tranché et les médias de la PLOUC (Pensée Légale Obligatoire Unique et Correcte) sont entrés en action, grâce quelques images poignantes (parfois « bidonnées ») et leurs dogmes idéologiques habituels.
La compassion humanitaire, dont les "zélites" se gargarisent sans avoir à l’avaler, représente le côté du Bien. La peur, qui est en fait une prudence stratégique intuitive, est attribuée au bon peuple égoïste et frileux. C’est le camp du Mal.
Les Européens, confrontés tous les jours aux difficultés pratiques du « vivre ensemble », mus par le bon sens et peut être par un vague souvenir historique, rechignent mais qu’importe, l’oligarchie en a décidé autrement ! Après le délicieux frisson de l’émotionnel pour le camp du Bien, quelques réalités de cette immigration-submersion s’imposeront :

  • A court terme, les vagues d’immigrants et les réserves de miséreux stockées en Libye et au Moyen-Orient dépasseront de loin, en nombre, toutes les invasions que l’Europe a combattues dans sa longue histoire. Ne croyez aucune évaluation faite par les politiciens. Ils sont complètement débordés, ne contrôlent absolument rien et tentent seulement de faire bonne figure. Ces chiffres n’ont aucun rapport avec la réalité. On entre chez nous sans frapper, en manifestant un mélange de souffrance et d’arrogance. L’immigration sauvage ne peut pas être « un peu » ; c’est tout ou rien.
  • La nette prédominance d’hommes jeunes parmi les clandestins est évidente. Le regroupement familial égalisera ultérieurement la répartition. Des "chances pour la France"? A voir ! Ils pourraient essayer de résoudre les difficultés de leurs pays et s'engager dans un des multiples groupes qui s’affrontent en Irak, en Syrie, en Libye ou bientôt au Maghreb. Au courage, ils préfèrent une fuite (parfois dangereuse) vers des paradis artificiellement idéalisés.
  • Beaucoup d’organisations dites humanitaires aident ces immigrants clandestins à tromper les autorités qui les recueillent et à tourner les règles édictées par les européens. A les croire, toute l’Afrique et le Moyen-Orient seraient peuplés de "Syriens de papiers"grâce à de faux passeports ! L’Eglise catholique est même allée de son couplet, charitable et irénique.
  • Surtout, à long terme, cette immigration clandestine est incompatible avec nos lois, nos traditions et notre culture Tous ces clandestins, ou presque, sont musulmans. Voilà le fond du problème. Le pourcentage de la population musulmane dans une société dicte le niveau de revendication ethnico-religieuse qu’elle impose peu à peu aux autres. Ces immigrants clandestins contribueront à augmenter la masse de manœuvre, passive mais malléable, qui est déjà en place.
  • Cette invasion-submersion, amplifiée en septembre 2015, inflige à l’Union Européenne une grave blessure. Il n’y a plus d’union dans l’Espace Schengen. L’Europe en mourra t elle ? Pas tout de suite, mais doucement, d'incohérence et d’inconséquence. Elle est trop bonne, trop « nunuche », trop gentille, trop accueillante, trop idéaliste, bref, trop socialiste dans un monde cupide et hostile encore mené par la loi de la jungle : le plus fort gagne.  

lundi 24 août 2015

Championnat du monde de l’hypocrisie et de l’idéologie sectaire : triomphe français.


Le Gouvernement actuel de la République mérite le mépris des Français. Mais une mention spéciale de répulsion doit être attribuée à trois individus particulièrement funestes. Taubira, Belkacem et Cazeneuve.
Dans les Championnats mondiaux de l’hypocrisie, leurs performances récentes ont donné à la France un podium complet dans la catégorie idéologie sectaire et haineuse. Leurs élucubrations abstraites ont été primées par le jury pour leur imperméabilité absolue à la réalité et pour leur persistance dans la forfaiture. L’actualité nous impose de nous focaliser sur le sinistre Cazeneuve.

Un marocain armé jusqu’aux dents entreprend de mitrailler les passagers d’un TGV et Cazeneuve, Ministre de l’intérieur !, quelques heures après, se demande encore s’il s’agit d’un attentat terroriste islamique ! Ce franc-maçon ne peut pas assurer la sécurité des Français devant le fléau terroriste islamique (ce qui prouve son incapacité donc son incompétence), mais il persiste à aider la progression de l’islam en France (ce qui atteste de sa perversion idéologique). Il fait semblant de contrôler, de freiner l’immigration folle actuelle, mais il a été convaincu, comme tout le Gouvernement, que l’Europe avait besoin de ce torrent d’immigration illégale. Alors, débordé, il laisse faire ou pire il accentue le mouvement. Ne pouvant empêcher le terrorisme islamique, il tente de le banaliser : « ce n’est pas si grave ! Ce sont des déséquilibrés et puis nous avons déjoué beaucoup d’attentats… ».
La SNCF va créer un numéro vert pour rassurer les passagers !! Soyez tranquilles !
La Commission Européenne, sourde à la vox populi, veut instaurer des quotas pour l’immigration illégale, ce qui l’officialisera et l’amplifiera.
Les ONG spécialisées, et financées par l'Etat, dans l’aide aux migrants se frottent les mains. Le travail ne manquera pas.
Le grand patronnat tient lui aussi beaucoup à cette immigration incontrôlée car elle tire les salaires vers le bas.
Le Parti Socialiste voit se développer  son nouvel électorat.
Les médias rivalisent de bienveillance verbale vis-à-vis de cette immigration illégale. Les termes utilisés sont révélateurs du déripage vers la mansuétude : immigrés illégaux, clandestins, sans papier… jusqu’à la trouvaille sémantique de « migrants ». En attendant le prochain : « frères dans le malheur »…
Les Américains, qui ne manquent jamais une occasion de démolir l’Europe, nous font la leçon de morale : humanité et partage, alors qu’ils sont en train de construire un mur entre le Mexique et eux.
Seuls, à l’autre bout du monde, les Australiens résistent avec succès.

A l’évidence, tout ce beau monde nous trompe, nous les gueux, nous la couche moyenne qui sombre dans la pauvreté, nous les oubliés de la France d’en bas. La Super Classe Mondiale (SCM) a décidé, contre la volonté des peuples installés, d’amplifier le mélange ethnique en Europe. Elle est puissante et s’acharne à renforcer le communautarisme religieux en Europe. Les exécutants nationaux la servent, obéissent  et nous serinent : « on vous dit que c’est bon pour vous, bande de crétins ! »
C’est pour cela qu’il faut lire le livre que je viens de publier aux Editions Via Romana : « Peut-on réenchanter la France ? ». Tout y est très clairement expliqué, mais pas de manière très politiquement correcte. Aujourd’hui il faut ouvrir cet ouvrage à la page 28.

jeudi 20 août 2015

Réflexions de vacances.


Au risque d’être accusé d’IOO et de DCR (infraction à l’onirisme obligatoire et délit de constatation de la réalité*), j’affirme que l’Europe est en déclin depuis un siècle. Avant 1914 elle dominait encore le monde et en 2015 elle ne contrôle plus rien. lL'Union Européenne fait pitié. La France était un des piliers de l’Union Européenne…
Mais il y a encore de beaux restes (intellectuels, culturels, artistiques…art de vivre) et, comme le suggère Jean Raspail, il faudra bien des gardiens des ruines. Je postule ! Jouir de ce qui reste doit être notre préoccupation permanente. Profitons-en puisque les historiens nous enseignent que les périodes de décadence ont toujours été les plus agréables à vivre. Mais combien vont-elles durer avant l'explosion finale ? Jouissons, certes, mais avec quelques entraves morales, qui ont fait la dignité de l’espèce humaine. Il faut des limites à tout quoi qu’en pensent les mondialistes.
A nous de trouver les proportions d’un mélange harmonieux d’adaptation au progrès véritable et de résistance aux conneries encensées par la PLOUC**, sans être ni amer ni nostalgique ! Difficile ! Carpe diem !

Par contre, ricaner des incohérences, hypocrisies, inepties et absurdités de la société française, menée par l’incompétence « idéologisée » et emportée par le mondialisme est un devoir de salut public.
« Il n’y a rien que comprenne mieux un homme intelligent qu’un coup de pied au cul. » Clémenceau, surnommé « le tigre ».
Ne pouvant leur botter physiquement les fesses, il faut glisser intellectuellement des grains de sable dans les chaussures de ceux qui poussent notre société vers l’abîme.
Cela a peu de chances de modifier l’évolution du pays, mais l’acharnement thérapeutique des politiciens pour prolonger le SPSP (système politico-social providence) moribond, ne pourra, lui, que retarder l’échéance. La sphère politique aux affaires est faible et manipulée, le pouvoir des juges est devenu exorbitant, les médias dévoyés publient toutes les conneries imaginables pour vendre, la PLOUC est devenue liberticide, la prolifération tentaculaire de l’administration étouffe l’inventivité et la nounou sociétale qu’on nous impose voudrait s’occuper du reste. L’opposition patauge entre la tentative de retour d’un Toto*** usé, sans conviction pour le pays, et un FN qui s’offre un grand vertige à gauche sur la piste Philippot.Varoufakis doit bien rire !
Mauvaise limonade ! Comme on dit à Marseille, avant de reservir le pastis.

Pourquoi ne pas proposer des solutions radicales ?
A côté des grandes institutions généreusement payées pour faire fonction de « think tank », lançons un réservoir d’idées novatrices qui pourraient devenir les traitement curatifs de nos maladies sociales, quand tout ira vraiment très mal. Les décisions politiques sont le fruit d’une lente sédimentation mentale dans le prudent cerveau de nos politiciens. C’est bon pour moi ou non ? Voila la principale question qu’ils se posent.La CGT exigeait la préférence nationale en 1935 et maintenant elle est violemment contre ! Peu à peu les choses finissent par changer. Lentement.
Alors accélérons ! Bousculons les conventions sociales ! Vous allez voir apparaître sur ce blogue la rubrique ALH  (A la hussard) pour envisager au fil du temps ce qu’il faudra bien faire un jour ! Un jour ou l’autre le système actuel explosera et ce qui existera à côté prendra sa place. Construisons sereinement, en parallèle, d’autres voies théoriques, abstraites, intellectuelles ou réelles, pragmatiques et pratiques.

Pour terminer ces réflexions d’été, je voudrais encourager mes lecteurs à réagir, à commenter en bien ou en mal, de façon incisive, les articles de ce blogue. Parlez-moi, bordel !








* Expressions lancées par Philippe Muray !
** Pensée Légale Obligatoire Unique et correcte.
***Sarkozy ressemble de plus en plus avec ses tics au célèbre acteur napolitain Toto.

mercredi 5 août 2015

Foutez la paix à Vincent Lambert !




Permettez, estimé lecteur, au vieux médecin que je suis de rugir de colère médicale, de ricaner de l’incohérence sociale et de pleurer de honte morale.
Le sort de ce jeune homme est suffisamment triste sans que l’interminable feuilleton médiatico-judiciaire ne rajoute de l’ignoble à son histoire clinique. Des agents d’influence à la solde d’idéologies, de juges qui ne connaissent rien à la médecine, à des journalistes avides de scandale et de sang, en passant par des « médecins » dont l’éthique est pour le moins dévoyée, sa famille aura tout connu.
Maintenant, hypocrites de tous bords, foutez la paix à ce grave blessé !
La victime expiatoire ne veut pas mourir ; elle n’est pas en fin de vie.
Elle n’entre pas clairement dans le cadre de lois civiles actuellement en vigueur. Le bouc émissaire résiste. Il survit depuis près de sept ans sans besoin autre que boire, manger et voir assurés quelques soins d’hygiène. Rien ne laisse présager d’une mort spontanée prochaine. Vincent est privé de la motricité de ses membres et a perdu la plus grande partie de sa conscience, mais si la société se met à abattre tous les tétraplégiques et ceux qui n’ont plus tous leurs sens, il y aura du travail ! Pour ce faire, il faudra d'ailleurs créer une nouvelle profession car les médecins, respectueux du Serment d’Hippocrate, ne s’en chargeront pas.
Faire mourir de soif et de faim un être humain affaibli, dans un pays qui a aboli la peine de mort pour les assassins, les meurtriers, les terroristes…( mais pas encore pour leurs victimes), confine au sadisme. C’est long et c’est affreux ! Si vous pensez, idéologues infernaux, qu’il faut tuer Vincent et que la justice moderne vous en donne le droit, ayez au moins le courage de vos convictions, chers confrères du CHU de Reims, au lieu de le retenir prisonnier, injectez lui du potassium en intra-veineux pour en finir vite.
Il coûte cher à la société ? S’il n’y avait que lui ! Avant de vous draper dans la bien « pensance » citoyenne, songez seulement, chers confrères, aux millions d’euros de fraude sociale et médicale que notre société tolère par ailleurs avec bienveillance.
Sa famille est divisée ? Oui ! Sa femme a refait sa vie en Belgique mais ses parents sont prêts à le transférer dans un centre qui peut et veut s’en occuper dignement. Laissez-les faire ! Laissez-le partir vivant ! Vous n’êtes pas propriétaires du malade, chers confrères du CHU de Reims. Aucune « valeur républicaine » ne peut justifier votre comportement.

Finalement tout pourrait être simple. Le « lobi euthanazi » qui réclame sa mort s’est trompé d’indication. Il n’a pas choisi un « bon » candidat pour faire progresser son idéologie mortifère dans l’opinion publique. Le bon sens commun ne veut pas suivre ! C’est tout, estimé lecteur ! Il suffirait… que ces agents d’influence reconnaissent leur faute et qu’ils changent d’avis pour que tout soit simple. Mais cette marche arrière intellectuelle logique est impossible à des idéologues convaincus et bornés.

mercredi 29 juillet 2015

Alerte ! Alerte ! Ils ont osé !

Que le peuple sorte de sa léthargie estivale ! Qu’il gronde furieusement  et harcèle ses représentants félons ! Jusqu’au retrait de cette autorisation  méphitique et scélérate !

Sur les ondes de  Radio Courtoisie, d’habitude média sérieux et fiable, pendant l’émission de Martial Bild, mercredi soir un des invités a annoncé que nos députés avaient voté dans l’indifférence complice de nos grands médias, une loi autorisant le  gouvernement de la République à prélever, en cas de besoin ou de crise financière, jusqu’à dix pour cent des montants disponibles sur les comptes en banques des Français.
Les autorités publiques, dont tout le monde connaît l’honnêteté, seraient ainsi autorisées à mettre la main directement sur des fonds privés. 
Pour mémoire la dette publique française c’est-à-dire contractée par des organismes publics nationaux a dépassé les deux trillions (deux mille milliards d’euros). C’est dire les qualités de gestionnaires des agents de l’Etat et notamment des Ministres, du premier d’entre eux et du Président de la République.
Attention ! Faire les poches des citoyens ne serait permis que dans certaines conditions bien précises, comme la chasse. Pas de braconnage ! Ce méfait ne pourrait avoir  lieu qu’en cas de crise grave ! Mais la crise est déjà là depuis 2008 et elle prend même des allures de véritable dépression structurelle économique et sociale. L’acharnement mis par les politiciens européens pour éviter, pour des raisons politiques, la sortie immédiate de la Grèce de la zone euro laisse penser que les difficultés financières de ce pays réapparaîtront bientôt. Le coquet cadeau financier qui a été nécessaire ne devrait pas diminuer la dette des pays prêteurs, dont la France.
Le pillage du bon peuple se faisait d’habitude par des manipulations monétaires et notamment des dévaluations. Mais avec l’euro on est passé de la malveillance au véritable attentat contre le peuple. Depuis les explosions sur l’étang de Berre, on ne sait plus trop la différence !  Ce coup pendable a déjà été fait à Chypre, il y a quelques mois. Les gouvernants chypriotes s’étaient défendus en disant que beaucoup des comptes pillés appartenaient à des Russes (sous entendu, malignement et sans aucune preuve, que c’était de l’argent sale ou volé). La recette était dans l’air en France depuis quelque temps, on en parlait sur le mode plaisant, on le disait impossible chez nous. Mais, si ce sale coup est avéré, le peuple pour une fois uni doit exiger une commission d’enquête pour savoir qui a voté cette loi inique, qui a voté contre, quelle est la position des partis politiques sur ce vol éhonté et finalement imposer la démission des responsables coupables. Il faut abroger cette loi sous les huées du peuple.
Ne laissons jamais l’Etat mettre ses doigts crochus et ses mains sales dans nos poches. Jamais ! Jamais !

jeudi 23 juillet 2015

Attention à la colère de Zeus !


Dernières bonnes feuilles de "Peut-on réenchanter la France ?" publié chez Via Romana et qu'il ne vous reste plus qu'à acheter pour lire la suite !

Ne nous dissimulons pas que nous vivons actuellement dans une France déboussolée, économiquement fatiguée, psychologiquement fragile et surtout moralement dérégulée.
Un battement d’aile de papillon peut entraîner un typhon à l’autre bout du monde stipule la théorie mathématique du chaos. Nous l’avons vérifié expérimentalement après mai 68 !
Quant on pense que ces évènements ont été déclenchés, à Nanterre, par le désir manifesté par quelques garçons de pouvoir accéder aux dortoirs des filles et que l’on constate aujourd’hui le bouleversement social et le désert moral que cela a créé dans le pays, on est abasourdi.
Par orgueil prométhéen, nous avons laissé s’installer une grave crise morale, qui entraîne un laxisme généralisé et un vide spirituel. L’ordre moral faisait peur aux libertins qui l’ont détruit. Les attaques répétées sur les valeurs traditionnelles, sur l’autorité nécessaire, sur les règles civiques, sur les piliers moraux de la société (que les « hussards noirs », ces instituteurs laïques de jadis, expliquaient et enseignaient scrupuleusement aux enfants) ont engendré un déficit grave et durable de morale dans notre société. Peu à peu toute la structure spirituelle, morale et religieuse, puis culturelle, intellectuelle et comportementale du pays a été ébranlée et toute l’architecture sociale s’est fragilisée dans un brouhaha cacophonique pour devenir instable et dangereuse.


On ne peut pas imaginer qu’un héros de la mythologie grecque puisse survivre quelques minutes dans le monde contemporain A l’évidence, il s’émerveillerait du progrès technique et du confort matériel ambiant mais il serait surpris que la sécurité des personnes et des biens ne soit plus assurée dans les villes, que les attaques soient lâches et dirigées sur les faibles et surtout il serait asphyxié dans notre atmosphère sans courage, sans héroïsme, sans honneur, sans dignité, sans fierté, sans le moindre respect du travail de nos ancêtres, sans interventions divines…intempestives. Il trouverait notre monde petit, mesquin, sans ambition, fade et désespérant.
Phèdre ou Ajax ne se seraient jamais suicidés à notre époque. Ils auraient seulement plaidé coupables et, avec un bon avocat, s’en seraient tirés, grâce à la contrainte pénale, avec quelques mois de travaux d’intérêt général ! 
Aucune société n’a pu vivre harmonieusement sans principes, sans mythes fondateurs, sans légendes, sans racine, sans une identité qui se dégage au fil des générations, sans quelques garde-fous moraux et sans une autorité fondée sur le savoir ! Aucune société ne peut vivre longtemps sans enthousiasme, sans élan créateur, sans ambition autre que de voir des matchs de foutbol. Ce n’est pas l’ersatz de « religion démocratique, séculaire, autoritaire et universaliste », proposé par la Super Classe Mondiale et relayé en France par le révolutionnaire Peillon, qui va y arriver. Les indignations sélectives, la cupidité, l’égoïsme des zélites ainsi que la jungle de règlements, de lois liberticides et de fêtes de commémoration d’évènements soigneusement choisis disqualifient notre système politique et social actuel pour réenchanter le moral des Français. Les tragédies grecques proposaient mieux aux citoyens libres d’Athènes et suscitent toujours beaucoup d’intérêt vingt cinq siècles plus tard.
Par contre, il y a peu de chances que l’on se souvienne encore de Hollande ou de Sarkozy dans 2500 ans, mais ne mettons pas tout sur le dos de nos zélites défaillantes.

Nous, le peuple de France, sommes aussi responsables de ce qui nous arrive et devrons changer beaucoup en nous pour espérer un renouveau national.
Permettez-moi, estimé lecteur, de me répéter pour conclure sur notre nécessaire changement intrinsèque. Il est inutile de se dissimuler derrière des boucs émissaires. On a les dirigeants que l’on mérite puisqu’on les choisit. Chacun d’entre nous est devenu réticent à l’égard de toute réforme qui pourrait le concerner ; des syndicats squelettiques résistent à toute amélioration dès qu’elle touche aux avantages acquis ; la France est devenue maintenant ingouvernable et irréformable. Le renouveau ne peut venir que des entrailles du peuple au prix d’un effort considérable de changement et d’une chirurgie réparatrice des structures sociales.

Mais nos générations sont progressivement devenues jouisseuses, individualistes et relativistes. Elles ont manifesté une tolérance béate pendant longtemps pour tout ce qui nous était étranger en oubliant notre passé pourtant exceptionnel et même en le critiquant outrageusement. L’histoire nous jugera comme des faibles, des repentants, des consentants à la culpabilité, des vaincus, des « lousers » !
Puis la cupidité, la perte du goût de l’effort et l’égoïsme matérialiste ont pris le dessus et nous n’avons fait preuve ni de courage, ni d’esprit critique, ni de volonté. Nous n’avons manifesté aucune clairvoyance quand nous nous vautrions dans le confort matériel et la surconsommation.
Nous avons laissé faire avec indifférence.
Nous avons profité, sans nous en rendre compte, d’avantages que nous devions au travail et aux principes moraux de nos prédécesseurs, nos ancêtres, et que nous n’avons su ni conserver, ni transmettre à notre rare descendance. Espérons que nos jeunes pousses relèveront l’immense défi que nous leur laissons et qu’ils éviteront de devenir ce que redoutait Tocqueville : « une foule innombrable d’hommes semblables et égaux qui tournent sans repos sur eux-mêmes pour se procurer de petits et vulgaires plaisirs dont ils emplissent leur âme. »


mardi 14 juillet 2015

Bonnes feuilles : quelques réflexions sur le racisme.


Toujours dans le cadre des bonnes feuilles du livre : "Peut-on réenchanter la France ?", voici un peu de lecture pour l'été.

La considération réclamée par les immigrés ne se décrète pas, elle se mérite.
« Un tigre ne proclame pas sa tigritude. Il n’en a pas besoin. » Wole Soijinka.
D’autre part, une relative réciprocité leur impose de respecter eux aussi la culture locale et l’autochtone qui les accueille. Leur demander de la gratitude serait considéré comme exagéré !

Si des individualités, issues de notre immigration, ont pu prendre l’ascenseur social, grâce à leurs qualités personnelles, et s’intègrent naturellement dans la société occidentale, une bonne part de nos immigrants, devenus citoyens français, végète et ne souhaite pas se fondre dans le tissu social de souche. Pourtant leur descendance sera française automatiquement. Les jérémiades et lamentations du début sont devenues maintenant des récriminations. Les associations de défense communautaire se sentent assez fortes pour envisager même de modifier le mode de vie des autochtones. Pour ne pas trop choquer, elles appellent cela une adaptation des structures autochtones. En fait, c’est le contraire de l’intégration des allochtones. On pourrait l’appeler une extégration des autochtones.
Une colonisation africaine de l’Europe est en marche... forcée, depuis le début du XXI° siècle. Nous avons fait pendant quarante ans le contraire d’un nettoyage ethnique. Appelez-le comme vous voudrez, estimé lecteur. En fait, nous avons jeté les bases d’une future substitution sociale sur notre territoire, sans le savoir. Notre immigration a atteint depuis 2015 la masse critique, suffisante pour changer la donne sociale. Ce bouleversement irréversible, déjà mal perçu par la population, montrera ses vrais effets délétères vers la fin du XXI° siècle. Cette immigration-invasion rapide, incontrôlée et incontrôlable, dans les conditions politiques du début du siècle et si malvenue dans les conditions économiques du moment, a entraîné la montée d’une réaction populaire, sans que nos dirigeants aient compris que cela pouvait créer des difficultés sociales graves.
« Le fondement du juste est le rapport de force. » J.P Michel, sénateur communiste non repenti.

Quelques réflexions de bon sens sur le racisme.

Il faut accepter de parler des problèmes qui fâchent : de races, de racisme, de groupes ethniques, de communautarisme et d’en traiter franchement et raisonnablement, sans la menace des lois scélérates et de procès intentés par les associations subventionnées pour cela.
Envisageons donc, en toute franchise et si possible sereinement, « cet instinct dont parfois nous médisons sous le nom de racisme. » J. Perret dans « Belle lurette ».
Le mot racisme, tel qu’il s’entend aujourd’hui, n’a rien à voir avec l’acception qu’il avait au temps de Darwin, Ferry et Blum. En France, le racisme était quiescent depuis bien longtemps et notre pays méritait pleinement son qualificatif de terre d’accueil.
La plus belle preuve en est donnée régulièrement par la foule qui applaudit à tout rompre, lors du défilé du 14 juillet sur les Champs Elysées, la Légion Etrangère, formidable école d’intégration sociale pour des légionnaires de plus de 200 nations différentes et qui ne sont pas tous des anges. Legio patria nostra.
Depuis une trentaine d’années, le débat a été remis au goût du jour par cette immigration-invasion. La réaction sociale autochtone, sourde au début, a du rester discrète à cause des nombreuses coercitions médiatiques et légales en vigueur. Mais dans le monde réel, ce qui doit arriver arrive, tôt ou tard. Qu’on en parle ou non !
Les associations anti-racistes ont contribué, par leurs exagérations stupides, leurs revendications outrancières et les procès insensés qu’elles intentent à tout bout de champ, à refouler toute réflexion sur le racisme, de l’expression publique où elle pourrait être canalisée, à la pensée qui reste privée voire intime, où elle se réfugie, se terre, se dissimule et laisse alors les pulsions animales prendre le dessus. L’actuelle obsession antiraciste, artificiellement entretenue par les manipulateurs d’opinion, n’a absolument pas fait avancer la réflexion sur le racisme. Au contraire !
Comme disait l’Abbé Pierre : « Il faut quand même pouvoir dire à un Juif qu’il chante faux sans que ce soit de l’antisémitisme ! » Ceci devrait être valable pour toutes les ethnies imaginables.
Qu’il y ait une tendance innée de chaque individu à fréquenter des personnes du même groupe social, de même langue, de même socle ethnique, religieux, culturel est prouvé par le mode de constitution habituelle des sociétés et se trouve confirmé par le communautarisme actuel. Plus les périodes sont troublées ou violentes, plus ces phénomènes d’agrégation communautaire se manifestent.
La pensée conforme (PLOUC) a diabolisé la discrimination en la présentant comme le premier pas vers d’éventuelles brimades, alors que ce terme veut seulement distinguer des différences, ce qui est le fondement de la pensée analytique.



Le racisme doit être considéré comme un continuum et non pas comme un état mental fixé. On n’est pas raciste ou anti-raciste. On est plus ou moins raciste, plus ou moins souvent, plus ou moins gravement, en fonction de sa culture sociale, de son éducation familiale, de ses tendances personnelles et surtout des circonstances.
Entre la perception par le bon sens de différences évidentes sur l’aspect, le comportement, la culture et les modes de vie des races ou des ethnies humaines et la théorisation d’une éventuelle supériorité raciale, voire de la persécution d’un groupe social, il existe un abîme.
C’est pourquoi il semble plus logique, et probablement plus efficace, pour réfléchir aux conséquences sociales de l’instinct racial, de distinguer l’anodin du grave. La frontière entre ces deux aspects du racisme devrait être mieux balisée et tout franchissement vers le grave sévèrement puni.

Le racisme anodin constate des différences morphologiques et de comportement entre les différents groupes ethniques, les analyse, éventuellement en sourit, mais les intègre dans la diversité biologique et s’astreint, par un effort de la volonté et de l’intelligence à la discrétion, à la courtoisie et au respect de l’autre. Les individus ne sont pas égaux ; ils sont différents. Les peuples aussi.
Cet effort est plus facile pour ceux qui ne se sentent en rien gênés ou menacés par ces différences de comportement et qui les voient de très loin.
C’est plus difficile pour ceux qui y sont confrontés, par force, dans la vie de tous les jours.
En clair, il est plus facile de ne pas avoir de pulsions racistes quand on habite le VII° arrondissement de Paris que lorsqu’on est un Français expatrié en Côte d’Ivoire au moment où les Patriotes du Président Gbagbo vociféraient dans les rues d’Abidjan qu’ils voulaient manger du Blanc !

Le racisme grave, pervers, haïssable et punissable, commence quand une des trois actions suivantes se manifeste.
  • Apparition, dans le niveau de langage privé et à plus forte raison public, d’une hiérarchisation, que l’on prétend objective, de différences morphologiques ou comportementales, entre des races pour établir un ordre, avec des supérieurs et des inférieurs.
  • Utilisation de l’appartenance d’un individu à un groupe social pour lui attribuer obligatoirement certaines caractéristiques attribuées à ce groupe social.
  • La perversion raciste s’aggrave vers le démoniaque lorsque ces jugements de valeur débouchent sur des insultes ou des brimades, des brutalités, des raquets ou des sanctions, des meurtres ou des génocides, décidées par certains hommes contre d’autres hommes ou groupes ethniques.

La première erreur de nos politiciens a été de combattre le racisme trop en aval. Par exemple, en ne procurant que des gilets pare-balles aux policiers engagés contre les saccages des banlieues par des groupes ethniquement homogènes de jeunes voyous ou d’émeutiers communautaristes. Les zélites ne voulaient pas voir.
En amont, la deuxième erreur politique a été de sanctionner des vétilles.
A l’orée de 2014, un film, « Qu’avons nous fait au bon Dieu ? », faisant une caricature légère mais enlevée des archétypes de la nouvelle société française, avait eu un immense succès populaire alors que la « critique intellectuelle officielle » l’avait démoli.
Il a été excessif de s’attaquer à « Y a bon Banania » ou à « Tintin au Congo » et d’interdire toute statistique ethnique ou religieuse ! Pour ne pas voir que la fièvre montait, les zélites cassaient le thermomètre !

En fait, au lieu de distinguer le racisme anodin du racisme pervers, la pensée dominante (PLOUC) admet que la gravité du racisme est liée au sens dans lequel il s’exerce.
Faire une remarque anodine dans la rue à un noir est bien plus grave qu’insulter gravement un blanc. Ce mécanisme pervers, excusé par les soi-disant traumatismes psychiques de l’époque coloniale depuis longtemps révolue, se teinte souvent de haine jalouse et aboutit au véritable racisme anti-blanc que l’on constate de plus en plus dans nos villes.

La post-modernité occidentale a perdu la raison. Elle est devenue sectaire et n’en est plus à un paradoxe près. On nous glisse subrepticement l’idée saugrenue qu’il existerait un racisme acceptable, qui serait compensatoire des méfaits de l’histoire. On pardonne presque tout au racisme anti-blanc. Pire même, le racisme pourrait être jugé utile. Un racisme social redistributif se manifeste par la discrimination positive, pour permettre à des minorités d’être artificiellement représentées par des quotas. Ce racisme politique, légal et obligatoire va à l’encontre de la vraie méritocratie, mais se drape dans le voile de la justice sociale. Il a surtout un effet dévalorisant pour ce type de promotion que les plus brillants des minoritaires perçoivent et déplorent.

Les Français autochtones, dits « de souche », sont-ils racistes ?
Quoiqu’on en dise, la population autochtone française avait, de tout temps, manifesté sympathie et compassion envers les quelques personnes immigrées, souvent malheureuses qu’elle côtoyait tous les jours.
Mais quand leur nombre a augmenté, le comportement des immigrés a changé et certaines strates de la population autochtone ont du adapter leur mode de vie aux difficultés sociales liées à cet afflux massif. La population autochtone a commencé à renâcler vers 2013-2014.
Pour faire passer la pilule aux autochtones, les autorités ont d’abord sous-estimé publiquement l’abondance de cette immigration-invasion. C’était mentir.
Puis les pouvoirs publics ont minimisé son coût pour le budget national. Les menteurs devenaient récidivistes !
Enfin, ces « menteurs-récidivistes² » nous ont vanté les potentialités de la France Black-Blanc-Beur, dans le cadre d’une Europe métissée. Le terme était impropre, mais il a été adopté parce qu’il sonnait bien ! Pourtant…
Dans l’hexagone, en 2021, on constate que les différentes communautés vivent à côté les unes des autres, sans beaucoup se mélanger. Comme pour les différentes espèces de poissons cohabitant sur un récif de corail, une apparente tranquillité règne sauf quand un requin ou un thon pris de fringale décide de se mettre à table !
Il aurait fallu, au début du XXI° siècle, que nos zélites comprennent que l’assimilation n’était pas réalisable avec des groupes ethniques mais qu’elle ne pouvait se faire qu’avec des individus. Encore faut-il qu’ils ne soient pas trop nombreux, qu’ils le désirent et que leur culture ne soit pas incompatible avec la nôtre.
L’intégration, qui laisse persister une hétérogénéité culturelle, mais assure une participation sociale, pourrait être espérée pour une bonne part de nos immigrés. Avec du temps, de l’argent et de la croissance économique !
Mais l’extégration, qui se profile dans certains quartiers, pourrait devenir redoutable pour la population autochtone dans son ensemble, si la tendance démographique se maintenait. L’extégration est toujours précédée par le communautarisme, mais heureusement le communautarisme ne mène pas toujours à l’extégration.

« Il n’y a pas de racisme chez nous, on élimine sans distinction de race. » aurait déclaré Staline un jour de grande forme !

lundi 13 juillet 2015

Acharnement thérapeutique contre les Grecs.

Un "accord" vient d'être trouvé après pas mal de difficultés, à Bruxelles, pour éviter à la Grèce de sortir de la zone euro. Le grexit aurait sonné la fin prochaine de l'euro monnaie unique. Tous les politiciens européens bien pensants poussent un "ouf" de soulagement.
J'affirme que la marche arrière n'existe pas dans le cerveau imprégné d'idéologies de nos zélites. Elles sont incapables de constater des faits  et de modifier leur action en fonction. Si ces cons là faisaient de la chirurgie cela se verrait tout de suite, mais ils font de la politique politicienne. Cela ne se voit donc que plus tard ! Ils préfèrent fuir en avant en pensant : ""quand la marmite explosera, nous ne serons plus aux affaires". Je relisais récemment le livre de François Brigneau "1939-1940 : l'année terrible". Comment le Front populaire a donné les pleins pouvoirs à Pétain dans la débâcle militaire. Que de conneries ont pu être dites à cette époque et après !!! Tout parallèle avec l'époque actuelle serait fortuit.
La phrase ndu jouur vient de l'ineffable Valls :  Je suis fier d'être aux côtés de François Hollande dans cette épreuve !
Vas-y Laval !

La volonté immigrationniste têtue de nos « zélites »*.



Essayons de mettre un peu de clarté, de franchise et de logique dans les débats concernant l’exode vers l’Europe de foules de « migrants », comme nos zélites voudraient qu’on appelle ces malheureux. Ils ne vont pas au hasard dans un monde immense et sans frontière. Non ! Ils risquent leurs vies pour quitter leurs pays ravagés et en atteindre d’autres où l’espoir est encore possible. Leur odyssée est jalonnée par des frontières plus ou moins étanches. Il s’agit en fait d’immigrants volontairement clandestins, donc hors-la-loi sur les terres d’accueil, qui ont décidé, délibérément et avec préméditation, de forcer illégalement la porte de ce qu’ils considèrent comme l’eldorado européen. Leur entrée incontrôlée puis leur séjour définitif à l’intérieur de nos frontières, est une insulte à l’immigration légale organisée et plus tard menacera la stabilité démo-politique de l’Europe. Le nombre infini des miséreux du monde, défie toute planification, déborde nos structures d’accueil et plombe financièrement ce qui reste des possibilités de notre si généreux Etat-Providence. Leur espérance est exploitée, avant le départ, au prix fort par d’ignobles individus dits « passeurs » que l’on stigmatise verbalement sans nuire en rien à leur trafic, au contraire. A l’arrivée, ils sont « aidés » par des associations dites philantropiques dont ils constituent le fond de commerce. La France avec ses six millions de demandeurs d’emploi (toutes catégories confondues), un tissu industriel en lambeaux et une dette publique de plus de deux trillions d’euros ne peut raisonnablement pas leur proposer une insertion décente.
Le peuple de France, ou tout au moins une bonne majorité de Français autochtones, considère que le plein de populations allochtones de cultures diverses a déjà été fait.
Le bien commun social, économique et politique requiert l’arrêt immédiat de cette immigration incohérente, à tout va.

Mais la totalité de nos zélites ne veut en rien diminuer et à plus forte raison annuler cette immigration-invasion. Par conviction impérative du MAC et panurgisme !

Leur idéologie, obligatoire pour faire partie des zélites, que l’on peut résumer par l’acronyme MAC (Mondialisme, Antiracisme et Cosmopolitisme), le leur interdit formellement. Elles pourraient si elles le voulaient arrêter cette immigration illégale (cf : « Peut-on réenchanter la France ? » 3° partie. J.P Bex chez Via Romana). Mais elles ne le veulent pas et dissimulent cette volonté qui déplaît à leur peuple, derrière l’écran de la compassion, de la nécessité d’accueil du prochain ou du lointain en difficulté, du respect des droits de l’homme… Pourtant on ne fait pas de bonne politique avec des sentiments fussent-ils du meilleur tonneau.
Nos zélites savent qu’accueillir tant d’immigrés illégaux impose de sacrifier le soutien nécessaire aux plus pauvres des Français (arrière pensée électorale suggérée par terra Nova). Elles s’accrochent pour une fois à une tradition : « la France terre d’accueil ». Comme si la France moderne n’avait pas sacrifié d’autres traditions plus utiles !
Comment un pays peuplé de racistes invétérés, dont les autorités se repentent tous les jours des leurs méfaits ancestraux, supposés ou exagérés, sur place ou dans les colonies, peut-il encore attirer autant de réfugiés, au péril de leur vie ?!

  • La liaison est soulignée par dérision !

mercredi 8 juillet 2015

Bonnes feuilles : suite de "la pieuvre administrative" tirée de "Peut-on réenchanter la France ?".


Une administration édicte des règles qui se veulent générales et adéquates pour tous les cas particuliers. Plus l’ensemble ainsi géré est grand, plus l’absurdité de ce principe devient évidente.
Le principe de subsidiarité, mal appliqué, n’a pas réussi à s’opposer à ce centralisme administratif jacobin inepte. Je ne citerai qu’un exemple du caractère pointilleux, inadapté et souvent ridicule des décisions prises à Bruxelles car tout le monde peste contre elles tous les jours. Jeudi 25 janvier 2011, l’Union Européenne a sommé, sous peine de poursuites, 13 pays d’améliorer le sort de 47 millions de poules pondeuses maintenues dans des cages trop petites et mal aménagées. Jusqu’en 2011, chaque poule disposait de l’équivalent minimum d’une feuille A4 d’espace au sol dans les élevages traditionnels en batterie. Les nouvelles normes prévoient de donner à chaque poule un minimum de 750 cm² d’espace dans leurs cages, soit une feuille A4 agrandie de l’équivalent d’une petite carte postale !! En pleine crise de l’euro…

Le citoyen doit se couler, sous peine de lourdes amendes, dans des cadres pré-établis, des formats, des carcans, parfois dans un véritable enfer paperassier. Il est toujours potentiellement coupable d’une transgression, parfois inconnue de lui. L’autorité doit toujours avoir quelque chose à lui reprocher.
L’administration impose ainsi de dures sanctions financières à la société civile qui est obligée d’être docile sous peine de majorations. Les récalcitrants sont immédiatement assaillis de menaces et cloués au pilori social par l’ordre répressif administratif. L’administration fiscale et les caisses de recouvrement des charges sociales peuvent être de véritables poisons pour l’esprit d’entreprise, convaincues que tout entrepreneur qui réussit est un fraudeur des règles fiscales et législatives. Celles-ci étant discutables, parfois ambiguës, ces administrations peuvent prolonger leurs enquêtes sur des années. Elles en souffrent peu, mais le malheureux particulier en sort éreinté même s’il est blanchi. D’ailleurs un contrôle fiscal est souvent utilisé comme moyen de rétorsion contre ceux qui ont osé sortir des rails de la pensée unique, conforme et obligatoire.

Les citoyens doivent abandonner progressivement des pans de leur liberté pour se fondre « dans le moule conforme ». Beaucoup d’entre nous courbons l’échine et acceptons cela comme un moindre mal. Ainsi on nous avilit tous les jours un peu plus. Gérard Depardieu avait été traité de minable et de voleur par des ministres lorsqu’il avait décidé de quitter l’enfer fiscal français en 2013. Mais le Système Politique et Social a l’habileté de faire monter progressivement la pression administrative pour que ce soit tolérable. Si cela avait été fait brutalement le peuple se serait rebellé bien plus tôt.
On m’objectera que cette tyrannie administrative est inhérente à la complexité de la vie moderne. C’est vrai ! Mais pas au-delà d’une certaine limite. Les Hôpitaux seraient plus faciles à gérer s’il n’y avait ni malades, ni médecins, plaisante l’administration ! Mais la réalité est qu’ils sont faits pour les malades, qu’il y faut des médecins et que l’administration n’y est qu’accessoire. Une bonne administration devrait s’adapter, elle, à la diversité et aux multiples cas particuliers des maladies et de la médecine. C’est difficile et nous en sommes loin en 2021.
« L’ambition dont on n’a pas les talents est un crime. » Chateaubriand dans ses Mémoires d’outre-tombe.
























mardi 7 juillet 2015

L’administration est devenue une pieuvre aveugle qui étouffe la société civile.


Au diable les commentaires qui n'amènent rien sur la Grèce. Qui vivra verra, mais la Grèce sortira bien un jour ou l'autre de la zone euro. C'était une connerie majeure de l'y faire entrer. N'est ce pas Monsieur Giscard d'Estaing ?
"Platon ne joue pas en ligue B"!!

 Toujours dans les bonnes feuilles du livre que j'ai publié chez Via Romana :"Peut-on réenchanter la France ?" voici quelques lignes traitant des tentacules administratives qui nous étouffent. Ce texte est une première partie, il y en aura bientôt une seconde. Le sujet les mérite.

Dostoïevski évoquait déjà avec irritation « l’ivresse administrative ». Depuis nous avons encore fait des progrès ! L’administration est devenue tentaculaire et s’insinue dans les moindres recoins de notre vie de tous les jours.
Ses multiples bras armés assurent, vis-à-vis du peuple, la surveillance et la coercition voulue par le Système Politique et Social. La France s’est dotée d’une « nounou sociétale » fastidieuse qui s’octroie les prérogatives d’une assistante sociale peu compétente, mais qui s’immisce dans tous les actes de la vie sociale.
Une vraie mouche du coche !
En France, nous souffrons d’une hypertrophie numérique de la structure administrative de l’Etat qui voudrait s’occuper de tout. Elle s’est dotée pour cela d’une panoplie réglementaire abondamment fournie. Nous croulons sous une avalanche de codes, normes, recommandations, décrets, lois…Bien entendu la répression suit de près, essentiellement sous forme d’amendes, de procès-verbaux et autres « pompes à phric ». C’est ennuyeux et stérile.
Mais il y a encore pire que l’administration française ! L’Espagne dispose d’une administration incompétente, mais qui manifeste les mêmes ambitions de tout régenter. Union Européenne oblige ! Le résultat est terrifiant. De la quantité sans la qualité ! C’est une pléthore d’employés inefficaces et souvent nuisibles et arrogants ! Tous les moyens de freiner ou de contrecarrer les projets des entrepreneurs et des citoyens en général sont bons à mettre en œuvre. La première idée qui traverse le cerveau d’un fonctionnaire espagnol devant un client est : « que vais-je pouvoir opposer comme règle administrative à cette personne pour ne pas faire ce qu’elle me demande ? »
Je généralise peut-être un peu, mais vraiment très peu !

Tout est codifié, « normaté », contrôlé et éventuellement interdit pour des raisons souvent incompréhensibles. La machine administrative n’a pas d’états d’âme, elle applique des règles générales, souvent théoriques et complexes. Sachant que nous n’obtiendrions pas le moindre brin d’humanité de ce monstre froid et sans âme, nous aurions pu espérer au moins une meilleure organisation des services qu’il est censé procurer. Il n’en a rien été. En fait, c’est le citoyen qui doit s’adapter aux règles administratives et non pas le contraire comme cela devrait être. L’informatique a beaucoup aidé cette évolution ! Heureusement, celle de l’administration « beugue » encore de temps en temps et laisse persister quelques échappatoires.

Si elle n’est pas contrôlée par des éléments extérieurs à elle-même, toute administration manifeste toujours une tendance irrépressible à accroître son domaine, son pouvoir, son personnel et son budget, quel que soit son volume d’activité, ses besoins et son utilité. L’abondante administration internationale de Bruxelles en offre un exemple caricatural depuis des lustres. La notre, coiffée par l’européenne, assure de moins en moins les devoirs régaliens de l’Etat vis-à-vis de la population, pour se consacrer aux détails de notre vie quotidienne. Ne serait-ce que pour justifier son existence. Ainsi son rôle est souvent jugé insupportable par les citoyens : multitude des règlements, complexité des formalités, incohérence des services entre eux, longueur des délais, arrogance... L’administration est sourde au bon sens et raffole de remontrances moralisatrices exaspérantes.
« Arrêtez d’emmerder les Français ! » a été l’interpellation gaillarde de l’ensemble des Députés en réunion par un de leurs collègues (Jacques Myard), en 2012, à propos de la prolifération des radars routiers.

Dans la haute administration, des esprits éclairés travaillent depuis longtemps pour passer de la démocratie représentative actuelle au stade supérieur, qu’ils appellent la « sémiocratie » et qui serait plus facile à manipuler
Une réflexion collective d’experts devrait précéder les décisions de l’exécutif, ce qui aboutirait en fait à une démocratie sans élection ! Cela ressemble beaucoup à ce que les peuples sont portés, par expérience, à mépriser et adorent ridiculiser sous les termes de technocratie ou de bureaucratie.
Travailler à ses intérêts propres tout en faisant semblant de rechercher le bien public est une activité très prisée dans ces milieux.
Dans les strates moyennes ou inférieures de l’administration, on a trouvé plus facile de mettre des normes autour de tous les actes de la vie, de compliquer tout plutôt que d’essayer de simplifier la survie du citoyen dans l’imbroglio paperassier et informatique qui le submerge. L’administration aurait du adapter ses réglementations préformées et rigides à la souplesse et aux arrondis nécessaires à la vie civile. C’est le contraire qui a été préféré et ça coince ! Le nombre de Codes (civil, pénal, de déontologie, du travail, de la chasse, de la pêche…) dépasse l’entendement.
Cette gabegie a un coût. Des Etats européens du Sud ont fait défaut à partir de 2010 parce qu’il ont vécu au dessus de leurs moyens et se sont endettés mais les politiciens de ces pays ont toujours renâclé à diminuer les dépenses de leurs administrations. Le système généreux de protection sociale, qui avait fait parler en Europe d’Etats –Providence, a longtemps tourné à plein régime et a chauffé. Nos politiciens avaient malencontreusement ouvert à tous les immigrants l’accès à ces privilèges, créant ainsi une pompe aspirante pour un «  déluge d’envahisseurs » (J. Raspail). Le coût de l’immigration en 2010 avait été chiffré entre 36 et 60 milliards par an. 550 000 immigrés clandestins en métropole et 135 000 de plus en Outre-Mer rajoutaient tout à fait légalement cinq milliards chaque année…aux dépenses de l’Etat.
La fraude sociale, notamment à l’assurance-maladie, qui est franchement illégale et n’est pas uniquement liée à l’immigration, a coûté en 2018, 20 milliards d’euros à l’Etat.
L’Etat et son administration sont incapables de contrôler ce qu’ils entendent gérer. Le Ministère de l’Education nationale ne peut même pas dénombrer exactement les fonctionnaires qu’il rémunère. Dans ces conditions réaliser des économies et diminuer les coûts publics devient une gageure.

Les syndicats le savent mais s’opposent à toute modification des statuts sous prétexte de qualité du service public mais en fait de leur intérêt sectoriel et de défense de leurs avantages acquis. En France, nos politiciens ont refusé de principe l’idée de diminuer les dépenses publiques car cette manne avait évité l’explosion de la marmite sociale pendant longtemps. Il fallait donc la conserver. Pour assumer, les Etats souverains occidentaux ont dû s’endetter au-delà du raisonnable et beaucoup sont de fait en cessation de paiement. Ils ont essayé longtemps de le cacher, mais depuis les années 2010, les conséquences catastrophiques de cet endettement pour les populations sont apparues au grand jour. Ces Etats ont imposé des plans d’austérité, ont augmenté les impôts, ont poussé la BCE d’imprimer de la monnaie pour leur permettre de survivre et finalement ont vendu leur souveraineté, qui est la liberté des nations. Le peuple a vu s’abattre sur lui inflation et pauvreté pendant que ses zélites politico-administratives continuaient de bien vivre, elles et leurs commensaux, grâce à des statuts très favorables, mis en place par elles-mêmes. Maintenant, on le menace de la déflation !

jeudi 2 juillet 2015

Bonnes feuilles: Modernité et post-modernité.




Les journalistes font allusion à la modernité et à la post-modernité, sans jamais définir ces termes qui divisent encore philosophes, sociologues et historiens.
Pour résumer, la modernité est caractérisée par la poursuite de l’idéal des philosophes européens du XVIII° siècle. Elle est censée commencer avec la Révolution Française et désigner la propension d’une société à imposer la raison théorique comme son paramètre fondamental. Elle s’oppose ainsi à la tradition, aux doctrines, aux idéologies et même aux religions. Selon Habermas, elle reste un projet inachevé. Elle est d’ailleurs probablement inachevable et, historiquement, ses ambitions théoriques se sont heurtées à bien des obstacles pratiques.
Si l’on en croit Wikipédia, la post-modernité commence vers la fin du XX° siècle et se traduit par la dissolution de la référence à la raison comme postulat. L’activité humaine tend à se justifier par le paradigme général de la résolution immédiate des problèmes par la volonté, fortement teintée par des émotions. Celles-ci induisent des comportements adaptatifs, souvent automatiques et un rapport au temps centré sur le présent. Beaucoup voient dans la post-modernité un subjectivisme incohérent qui entraîne une fragilisation des identités collectives et individuelles. François Hollande avait en 2013 « la conviction » que la croissance industrielle et la reprise économique allaient reprendre dès 2014. Parce qu’une crise ne dure pas !
Dans la lutte éternelle qui oppose les anciens et les modernes, les conservateurs et les progressistes, la tradition et le progrès, nos zélites ont toujours soutenu que la seule voie était d’être moderne, donc progressiste. Elles ont crû avec Marx que l’histoire avait un sens inéluctable allant vers un Progrès continu.
Cette affirmation péremptoire heurte le bon sens populaire car l’histoire se fait souvent en fonction des aléas de la conjoncture, des décisions de quelques hommes (encore faut-il qu’ils soient décidés) et de l’adhésion éventuelle des peuples. Même pour les grandes innovations, après chacun de ses « sauts » techniques, le progrès se heurte toujours à un « mur de limitations ».
Depuis quelques siècles qu’elle existe, il faut bien constater que la modernité n’a jamais montré d’autre finalité que matérielle. La post-modernité encore moins ! Maintenant elle erre au fil des découvertes scientifiques, des possibilités techniques qui en découlent, des opportunités et de multiples manœuvres pour faire du profit, comme un sanglier en quête de nourriture dans la forêt, à la billebaude. Elle est menée par l’intérêt immédiat, en général financier, de nos meneurs affublés d’une cupidité insatiable. Nous naviguons dans le brouillard.

Tout n’est pas à rejeter dans la post-modernité ! Certes non. Mais elle nous a fait entrer depuis quelques lustres, dans une impasse. Elle accumule des incohérences et parfois des absurdités. Certains ayant encore la faculté de réfléchir librement s’en sont aperçus. Au lieu de fuir en avant, les yeux fermés, ils ont suggéré de s’arrêter un instant et même de reculer pour retrouver le bon chemin. Mais ils n’ont pas été écoutés et notre société erre au gré des vagues économiques et des courants sociaux, comme un bateau ivre, sans cap bien défini et avec des officiers de quart souvent incompétents, roublards mais dépassés par les évènements !
« On ne conduit le peuple qu’en lui montrant un avenir ; un chef est un marchand d’espérance. » Napoléon dans ses Mémoires dictées à Las Casas.
Pour mettre en perspective ce pessimisme, on peut regretter le déclin de l’Occident et notamment de l’effondrement français, tout en étant heureux de bénéficier encore des bienfaits de la civilisation occidentale et de la « douceur de vivre » résiduelle pour bon nombre d’Hexagonaux.
Les historiens nous montrent que les périodes de décadence des sociétés ont souvent été très agréables à vivre. Le problème est de savoir combien de temps elles peuvent durer avant la disparition pure et simple du système social, économique et financier ainsi que du mode de vie qu’elles avaient mis en place. Rien ne doit nous empêcher de profiter pleinement du moment présent, de notre existence en général et de savourer les bienfaits que nous offre encore la vie en France. Il est incontestable qu’elle est encore bien meilleure que dans beaucoup d’autres pays.
« Laissez rouler le bon temps » dit-on à La Nouvelle Orléans !

mercredi 1 juillet 2015

La phrase la plus tarte.

Manuel Valls dans le rôle du cireur de pompes :
"le monde doit savoir que François Hollande est un grand Président !"
ou bien y a t-il un humour au second degré dans cette assertion.
La sémantique évolue tellement vite qu'il devient difficile de comprendre le sens vrai d'une phrase, en dehors de la récitation psalmodiée des "mantras" nécessaires à la PLOUC (Pensée Légale Obligatoire Unique et Correcte).

mardi 30 juin 2015

La honte d'être français.

Pour la première fois de ma vie, qui commence pourtant à être longue, j'ai éprouvé de façon violente et brutale  de la honte d'être français.
Diable !
Tout avait commencé jeudi dernier au fin fond de l'île de Naxos (Grèce) où j'étais allé passer quelques jours de vacances. Chez un quincailler, qui ne parlait que quelques bribes d'anglais, nous en étions arrivés à la politique internationale. C'était quatre jours avant le lundi fatal de la fermeture des banques grecques. Pour évoquer Hollande, il s'est couvert le chef d'un casque de bâtiment qui traînait par là et faisant "vroum, vroum" il s'est mis à  mimer un motard ou un scooteriste, en criant Julie Gayet, Julie Gayet... en se tordant de rire. 
Nos politiciens professionnels nous représentent bien.

Pire, au retour, vendredi soir vers 21 heures, il y avait dans ce pays merveilleux qu'était la France, un grève générale des taxis avec piquets de grève (illégaux) pour gêner au maximum les usagers. Qu'à cela ne tienne, il fallait prendre le RER. Mais le RER B fief de la CGT et consorts...qui bien sûr avaient miné le terrain. Le train démarre enfin de Roissy, bourré de touristes coréens, anglais...  chargés de bagages et ébahis par la pagaille qui régnait autour des distributeurs de billets. Au Bourget, il était 23 h car le train avait été bloqué dans plusieurs gares, arrêt définitif ou en tout cas prolongé du train et abandon pur et simple des passagers en pleine nuit dans les environs merveilleux de la gare du Bourget une nuit de ramadan. Bien sûr sans aucun taxi pour "sauver" les malheureux touristes et leur permettre de rejoindre leur hôtel ou leurs amis.

Jamais je n'oublierai les larmes de cette jeune anglo-saxonne blonde qui portait dans ses bras, en plus de ses bagages, un bébé de trois ou quatre mois...hurlant  au milieu des djellabas et des barbes.
Bon séjour à tous dans la ville lumière !
"Les affaires des hommes ont toujours très mal marché " Jacques Bainville.

Bonnes feuilles : La Super Classe Mondiale

Dans le cadre des bonnes feuilles du livre :
"Peut-on réenchanter la France ?"
voici la description de la super classe mondiale (SCM), qui dirige tout en sous main. Pour le meilleur (?) ou le pire !

Nos élites politiques nationales  sont dirigées, par un réseau international informel, à forte prédominance anglo-saxonne, que l’on peut appeler avec Samuel Huntington « la Super Classe Mondiale (SCM) ».  Des cerveaux brillants mais tous imbibés de dévotion aux dogmes de la nouvelle idéologie à la mode, le Mondialisme-Antiracisme-Cosmopolitisme (MAC), se sont organisés en réseau, de manière informelle. Une caste, des oligopoles, des oligo-éléments, une « nomenklatura », appelez cette nébuleuse comme vous voudrez, mais sachez que quelques petits groupes, fluctuants mais tenaces, coordonnés entre eux, dirigent tout, le plus tranquillement possible. Nommons sans plus tarder les moins discrètes des sociétés de pensée, qui regroupent les grands dirigeants politiques, industriels, financiers… et qui constituent les boîtes à idées de cette Super Classe Mondiale.
Voici quelques sociétés ou institutions privées, dans lesquelles se dissimulent les maîtres du monde pour œuvrer tranquillement : Fabian Society, Pilgrims’ Society, Ditchley Foundation, Round Table, Royal Institute of International Affairs, Council on Foreign Relations, Commission Trilatérale, Tavistock Institute, Groupe de l’Hôtel Bilderberg, Aspen Institute for Humanistic Studies, B’nai n’Brith, Pugwash, United Religion Initiative…
Une relative convergence de pensée avec les Loges de la Franc Maçonnerie, leur assure un soutien logistique efficace. Leurs membres, de toutes les nationalités avec une forte prédominance américaine, se réunissent régulièrement à l’insu des médias, sauf quand ils vont au Forum de  Davos pour flatter leur ego. Quelques uns de vos élus, de vos politiciens nationaux préférés en font partie, mais évitent de s’en vanter devant leurs électeurs. Ces dirigeants élus pour des mandats nationaux, régionaux, départementaux… sont pourtant très fiers de faire partie de ces clubs internationaux de réflexion chargés d’assurer la promotion du Mondialisme-Antiracisme-Cosmopolitisme (MAC) et de saper le concept de nations souveraines. L’adhésion des dirigeants mondiaux à cette nouvelle utopie sociale, contrairement à ce que souhaite la majorité des peuples qui les mandatent, est déjà une preuve de la trahison des élites et de la vacuité du mot démocratie.
Dans l’idée de ces élites, une pression  médiatique et sociale constante réussira bien, un jour ou l’autre, à convaincre les peuples du monde entier du bien-fondé du MAC. Mais il faut d’abord détruire ce qui existe pour pouvoir ensuite reconstruire. C’est un des slogans des loges maçonniques : ordo ab chaos. L’ordre naîtra du chaos. L’expérience montre qu’il est plus facile de détruire que de reconstruire !
« Quand on ne sait pas coudre, il ne faut pas défaire les coutures. » Proverbe russe.
Cette Super Classe Mondiale est très peu nombreuse (quelques dizaines de milliers d’individus) et se protége des intrus par un système de cooptations internes.
En effet, les candidats ne manquent pas pour bénéficier du pouvoir et des avantages qu’elle confère à ses affidés. Elle est composée de gens intelligents et diplômés, souvent cupides, mais tenus à une fidélité granitique aux dogmes du MAC, sous peine d’exclusion. Il n’y a pas de place ici pour des divergences de fond. La Super Classe Mondiale est certes fondée sur la méritocratie, mais tempérée par une restriction majeure : les candidats doivent être des adeptes reconnus des politiques économiques libérales, du libre échange commercial à tout va sur toute la planète, du cosmopolitisme et de l’utilité d’une gouvernance supra nationale. C’est pourquoi il est toujours de bon ton dans leurs discours de diaboliser le populisme, d’insulter les démagogues qui en font l’apologie et de ne jamais débattre publiquement avec eux. 
Sa cohésion interne est assurée par l’adhésion aux principes du mondialisme et à la défense des intérêts catégoriels de ses membres (pouvoir, relations et argent). Dans cet ensemble complexe et mal défini, la ligne politique finalement adoptée n’est que la résultante des tendances les plus fortes, souvent américaines. Quelques cercles intellectuels, clubs, boites à idées ou pôles de réflexion, pour ne pas dire « sociétés de pensée », se définissant tous comme progressistes, ont  ainsi sécrété une « doxa » qui traduit, sinon la réalité des choses au moins les espoirs de la Super Classe Mondiale. Ce que la SCM voudrait que la réalité soit ! Vous avez reconnu, en version originale, la Pensée Légale, Obligatoire, Unique et Conforme (la PLOUC) imposée à tous en France, subrepticement mais fermement, pour brider et briser toute pensée marginale ou divergente.

vendredi 12 juin 2015

Bonnes feuilles : microcosme et macrocosme.


Je vous propose, sous le titre général de "bonnes feuilles", quelques extraits du livre que j'ai publié chez Via Romana :"Peut-on réenchanter la France ?"

Toute société extrait de sa masse, des élites qui lui sont nécessaires pour s’organiser harmonieusement et efficacement. Les critères de sélection ont beaucoup varié, au cours de l’histoire, de la force physique à l’intelligence, en passant par la capacité militaire, le pouvoir financier, la tromperie…
Actuellement, en 2021, les diplômes même dévalorisés comme ils le sont, les ressources financières, les relations personnelles ou familiales et plus récemment l’origine ethnique sont les facteurs les plus déterminants de l’ascension sociale. L’ascenseur social marche mal et se contente de déposer un petit groupe de privilégiés intouchables, au dernier étage, avant de tomber en panne !
Ce microcosme social est constitué d’une dizaine de milliers de personnes arrivistes, prêtes à tout pour réussir. Elles exercent leur pouvoir sur une masse de soixante huit millions d’individus devenus les spectateurs distraits, passifs et parfois amusés de spectacles politiques relayés par les médias. En effet, cette multitude doit payer (au moins la redevance télé) pour assister au cinéma permanent que lui organisent les nombreux bonimenteurs de l’actualité, des médias, de la politique, du sport professionnel, du chobiz, de ce qu’est devenu l’art contemporain… et même de la pornographie. Ce sont les meneurs, les élites, les faiseurs d’actualité, les lideurs d’opinion. Leur force est de savoir utiliser la puissance de diffusion des médias et notamment celle des écrans de télé et d’ordinateurs. Raymond Barre, en son temps, avait individualisé et critiqué ce microcosme très parisien, qui sait la vérité sur bien des sujets mais la déforme ou l’occulte pour que les autres n’en connaissent que ce qu’ils veulent bien faire savoir. La frénésie médiatique reprend et amplifie ces montages orientés, « bidonnés », mensongers ou faussés pour désinformer la masse du macrocosme, pour la tromper ou l’abrutir par la tornade de futilité qui s’abat sur elle. La réalité n’apparaît plus clairement, parce qu’on l’enrobe dans un fatras de mensonges et de manipulations mentales qui sont l’objet revendiqué de la « com ». La communication du microcosme est devenue une véritable escroquerie par tromperie sur la marchandise. Comme la réalité ne coïncide pas souvent avec leurs espoirs, les gens du microcosme ont établi une pensée obligatoire et correcte qui représente ce qu’ils voudraient que la réalité soit.
Ces privilégiés sont financièrement aisés, intellectuellement arrogants et jouissent d’une visibilité médiatique qui leur donne une impression de notoriété. Ce sont des pipeuls, reconnus dans la rue et écoutés sur les ondes. Comme ils oeuvrent toujours dans le sens de leur intérêt particulier, ils se sont progressivement déconsidérées aux yeux du peuple qui affirme les mépriser, mais continue à les « bader », comme on dit dans le Midi.

Les spectateurs forment le macrocosme, cette foule passive que l’on appelle la population. Elle est constamment noyée sous un déluge d’informations, véritable bruit de fond omniprésent qui surcharge sa mémoire et altère son esprit critique. La masse populaire a conscience de cette désinformation mais elle est devenue indifférente, compliante, voire docile, vis-à-vis des mensonges, des reniements et des trahisons du microcosme. En revanche, elle est très soigneusement entretenue par le microcosme dans l’idée qu’elle reste la pièce maîtresse de la démocratie. Une véritable démocratie ne peut pas survivre dans ces conditions.
Quand le peuple fait une crise de populisme aigu, le microcosme s’empresse de guérir la poussée fébrile en utilisant un arsenal judiciaire redoutable fondé sur de nombreuses lois limitant le droit d’expression et les possibilités de réflexion sur des sujets « tabous » dont il ne faut pas parler. Au besoin, il brandit la menace de l’extrême droite…et les réminiscences du nazisme.
Diabolisons, diabolisons, il en restera toujours quelque chose !

jeudi 11 juin 2015

Vincent Lambert doit vivre en paix. Pouce en l'air pour tous.

Trois petits mots dans le grand remue ménage de l'affaire Vincent Lambert.
- Les partisans de l'idéologie euthanasique, que certains appellent la culture de mort, se sont trompés dans leur indication, mais ne veulent pas en démordre. Vincent Lambert est un mauvais cas pour envisager une euthanasie parce qu'il persiste un doute évident sur son réel état cérébral et qu'une partie de sa famille ne veut pas en entendre parler. Le doute doit, surtout en médecine, bénéficier au malade. L'abolition de la peine de mort  devrait aller jusqu'aux plus faibles d'entre nous.
- Vincent n'a besoin que de nourriture et d'eau. Cela ne coûte pas bien cher si on se rend compte de l'immensité de la fraude organisée par ailleurs dans le domaine de la santé. Il ne s'agit pas d'un malade mais d'un jeune blessé qu'aucun "tuyau" ne  rattache à une vie artificielle pouvant évoquer un acharnement thérapeutique. Paradoxalement, on lui dénie même au CHU de Reims les moyens habituels de nursing et de réeducation dont bénéficient des milliers d'autres malades en France.
Sans le connaître, je crois pouvoir affirmer que Kariger est un médecin indigne. Hypertrophie pathologique de l'ego, manque d'humanité avec la famille, décision barbare d'arrêter toute nutrition du malade... Vouloir au nom d'une idéologie personnelle ou d'une conviction intime imposer une décision de mort, malgré l'opposition d'une partie de la famille, est abject. Quelle image de la médecine donne-t-il ? Son nom restera attaché à une mauvaise pratique de la médecine. Qu'est ce en plus que ce "cinéma" qui consiste à maintenir ce blessé enfermé à double tour dans sa chambre pour limiter les visites familiales et autres.

Manifestons tous,  dans la rue, partout, avec le pouce en l'air pour dire : Laissez le vivre.
Que l'opinion publique impose aux médecins du CHU de Reims de laisser  partir  ce blessé qu'ils tiennent prisonnier pour qu'il aille dans le centre où il pourra être sereinement aidé et où il est attendu.  
Amen !* Ce qui veut dire en latin : Ainsi soit-il.

*L'auteur de ces lignes est agnostique, mais ce pied de nez a pour but de rappeler à certaines ministres que le latin sert encore un peu, même dans la vie de tous les jours.

mercredi 20 mai 2015

Faut-il mettre Robert Ménard au pilori ?




Fichage d'individus à partir de caractéristiques personnelles qui peuvent éventuellement leur nuire : non !
Mais analyse statistique : oui !
L’analyse statistique ne comporte aucun risque personnel pour les individus constitutifs du groupe parce qu’elle est anonyme. En plus, on ne voit pas clairement les nuisances qu’elle pourrait avoir pour les écoliers ou leur famille car être musulman et/ou d’origine africaine n’a jamais été considéré comme infamant.
Contrairement aux Etats-Unis d’Amérique, la République Française s’interdit toute statistique religieuse, ethnique, d’inclination sexuelle ou autre.
Les Français sont priés de respecter la loi, mais ne le font pas toujours ! Chacun d’entre nous fait sa petite étude statistique personnelle « à la louche », en ouvrant les yeux en ville, sans que les médias, la PLOUC* ou les tribunaux puissent s’en mêler !
L’approche par les prénoms n’a rien de scientifique non plus, mais c’est un moyen simple, probablement pertinent (les plus compensant probablement les moins !) et suffisant pour la gestion des écoles de Béziers.
Même la biologie ne respecte plus les lois de la République ! La drépanocytose est une maladie génétique des globules rouges qui frappe uniquement les populations noires. Il est de bonne médecine (et obligatoire) de la détecter, à la naissance, systématiquement, pour en prévenir les conséquences, dans ces populations à risque. Le pourcentage de recherches de drépanocytose par rapport au nombre total de naissances, renseigne indirectement mais de façon très précise sur le pourcentage de naissances d’enfants noirs ou plus généralement d’origine africaine, dans les maternités de la métropole française. Les résultats vont dans le sens des affirmations de Robert Ménard.
Le bilan 2013 de l’AFDPHE (page 16) donne pour toute la France métropolitaine : 31,50 % en 2010 ; 34,44 % en 2012 et 35,70 % en 2013.Région par région, pour 2013, on peut noter des variations importantes : 67,90 % en Ile- de –France ; 40,04 % en Languedoc-Roussillon ; 44,27 % en PACA-Corse et 7,33 % en Bretagne.

S’il n’y a pas de fichage, le Gouvernement devrait, avant de se ridiculiser (ce qui est habituel) et de sanctionner (ce qui est techniquement possible) le Maire de Béziers, reconnaître que savoir le vrai est bien plus utile pour une gestion cohérente que de subir constamment les mensonges que nous impose la « com » pour minorer l’abondance de l’immigration incontrôlée actuelle.**
Hier, Eric Zemmour a été stigmatisé pour avoir dit qu’une bonne majorité des prisonniers étaient musulmans dans les prisons françaises. Il disait vrai.
Aujourd’hui, Robert Ménard souligne la forte présence d’enfants d’origine étrangère dans beaucoup d’écoles. Traînez-le dans la boue si vous voulez, mais il dit vrai aussi.


*PLOUC : Pensée Légale Obligatoire Unique et Correcte.
**« Peut-on réenchanter la France ? » J.P Bex. Editions Via Romana. (Page 111)

mardi 5 mai 2015

Au bal des hypocrites, une seule bonne nouvelle !

L'ambiance est à l'hypocrisie :
- Hollande vient de prendre sa dernière raclée électorale. Il les a cumulées depuis qu'il habite l'Elysée, il s'habitue et "rien ne l'agace" ! Il sourit, il fait semblant, il est heureux  d'être là ! Peut être va-t-il faire une sieste ?
- le Parlement français se soucie de la maigreur des mannequins et légifère une fois encore... pendant que le pays gronde pour de vrai.
- Le Parlement européen est plus sérieux : il bannit la fessée et pendant ce temps beaucoup parlent du Grexit, redoutent la sortie des Anglais de l'UE et d'autres évoquent l'explosion de l'euro...
- Bernard Lugan, après Zemmour, Millet, Camus, voire Le Pen JM et Robert Ménard (dans un autre contexte) sont censurés alors que la Pensée Légale Obligatoire Unique et Correcte (PLOUC) pérore sur la liberté d'expression...
- Valls, au Palais Bourbon, devant les députés et ses ministres atterrés,  écumant, furieux, tremblant et les yeux exorbités invective la charmante et souriante Marion Maréchal Le Pen en l'accusant de "montrer le vrai visage du FN"! Maladroit !

Une seule bonne nouvelle : 
Le livre que je vous annonçais vient de paraître : 
"Peut-on réenchanter la France ?" J.P Bex .  Edtions Via Romana. 22 €
Vous pourrez le commander dans toutes les bonnes librairies mais pour le trouver en vitrine il faudra attendre encore un peu !
Cet essai de 250 pages comporte trois parties :
- Où en sera la France en 2020 : petite extrapolation assez facile étant donnée l'attentisme passif de nos gouvernants.
- Pourquoi et comment a-t-on pu en arriver là ? Analyse sans pitié des responsabilités de tous.
- Que peut on faire ? Rien à attendre des zélites, c'est du peuple que viendra l'éventuel sursaut de la France. Bougeons nous ! Quelques pistes dont l'axe général est qu'il "faut opérer" d'urgence. Le temps des onguents, des petites médecines, des thermocautères sur jambe de bois, du verbiage est passé. Il faut opérer c'est à dire tailler dans le vif !
Aux grands maux, les grands remèdes." Shakespeare.
Je vous en ferai un présentation plus détaillée bientôt mais

Reservez-moi un petit whisky pour supporter l'ambiance !

En ce moment je n'écris guère sur ce blogue car je suis abasourdi par l'hystérie du microcosme politico-médiatique actuel. Il faut laisser un peu de temps au temps ! Laisser décanter.  Ricaner n'a aucun sens.
Ce qui me désole encore plus est que le peuple français participe à cette hystérie menée par les médias.
Attention, camarades, c'est une excellente voie vers la guerre civile.

Pour stimuler une réflexion pondérée sur l'évolution de notre société française, je vous recommande, pendant cette période  échevelée, la lecture de mon ouvrage, serein dans la forme mais ferme sur le fond : "Peut-on réenchanter la France ?" publié chez Via Romana. Je vous rappelle que c'était un des engagements du lamentable Hollande pendant la campagne électorale de 2012 !!
Si vous n'aimez pas lire, écoutez Radio Courtoisie le mercredi 3 juin à partir de 18 h : c'est l'émission de Gérard Marin qui me fait l'honneur de m'inviter pour parler des bonnes feuilles de ce livre.

A bientôt !

lundi 27 avril 2015

Peut-on réenchanter la France ?

Chers amis du blogue Buzzbex,

Après un assez long silence  de réflexion,de tentatives de promotion du prototype de selle révolutionnaire Physio de vélo que j'ai mis au point, de travaux agricoles comme le commande la saison et de pannes informatiques dans mon repère de la Catalogne espagnole, isolé et abandonné (par les autres !),  voici le Buzzbex nouveau !!

Les Français perspicaces sont moroses !
La France s'essouffle dans la compétition mondiale ! D'aucuns parlent de déclin, sauf Hollande et Sarkozy qui y ont pourtant notablement contribué.

Le livre de Jean-Pierre Bex intitulé "Peut-on réenchanter la France ?" vient de paraître aux Editions Via Romana. Vous le trouverez dans toutes les bonnes librairies et même sur le net !

En effet, à titre personnel mais aussi social, il m'est apparu urgent et nécessaire :
- de préciser,, à très court terme, les modalités de nos régressions politiques, sociales, économiques, financières et morales.
- d'analyser sans complaisance les causes de nos ennuis ( le mondialisme autoritaire, l'antiracisme et ses conséquences sur l'immigration-invasion, le cosmopolitisme et les dangers de l'islam, les vestiges sociaux du marxisme, les inepties de la "verdure rouge", les méfaits de la pieuvre réglementaire et administrative, sans oublier notre délitement culturel et moral...)
- d'envisager d'appliquer quelques options politiques "rugueuses" mais salvatrices, à prendre d'urgence. Sinon elles risquent de s'imposer plus tard mais plus durement encore.

Eric Zemmour ? Oui ! Bien sûr !  Mais après cette saine lecture , que faire ?
Acheter mon livre et vous le saurez !
S'il vous a plu, n'hésitez pas à le faire connaître autour de vous. Je serai l'invité de Gérard Marin le soir du 3 juin, à partir de 18 h, sur Radio Courtoisie pour en parler.

jeudi 12 mars 2015

Commentaire à propos d'Ali Juppé !

Le "meilleur d'entre nous" a dit en parlant de la France  : "Ce pays devient fou".
Ce n'est pas une maladie spontanée. La nullité de l'ensemble des politiciens  actuels les rend fous. Les Présidents de la V° République sont de plus en plus mauvais au fil du temps. Qui peut faire pire que Hollande ?
Ce blogue n'est pas en deshérence mais les impératifs temporels de la nature mangent tout mon temps ( greffer, semer, débroussailler... sont très astreignant). En plus il me faut m'occuper de la parution de mon livre et pour tout vous dire, j'essaie de développer un modèle de selle de vélo révolutionnaire, la selle Physio qui ne fait pas mal au cul !
A bientôt pour reparler des cons qui nous dirigent ( après les départementales !)

jeudi 22 janvier 2015

Petite note de Diogène le cynique.

Finalement, les évènements récents auront eu comme résultats paradoxaux :
- de sauver, grâce à la vente de cinq millions d'exemplaires du dernier numéro, Charlie Hebdo qui était au bord de la faillite.
- de permettre à Hollande de récupérer 20 points dans sa popularité catastrophique, alors que les services de l'état (protection de personnes menacées, renseignement, justice) qu'il dirige ont eu de failles.
- de ruiner les quelques résultats de notre diplomatie dans tous les pays musulmans du monde.
- d'isoler un peu plus le FN qui , depuis cinquante ans, annonce pourtant les problèmes crées en France par une immigration-invasion à prédominance islamique. Mais personne ne l'écoute.
- de renforcer les projets de mesures palliatives pour lutter contre le terrorisme  islamique et d'éliminer systématiquement toute mesure préventive ou curatrice, alors qu'il est encore temps. La principale action préventive étant le contrôle drastique de l'immigration musulmane, c'est-à-dire son arrêt.
Alleluyah !  Que le vaya bien.

lundi 19 janvier 2015

Une immense hypocrisie s’est abattue sur le Système Politico-Social de la France (SPSF) qui pour ne pas heurter les six, sept ou huit millions de musulmans vivant en France, fait sans vergogne un déni de réalité.


L’émotion de la France profonde, crée par les évènements récents, entretenue et amplifiée par des médias avides de sensationnel immédiat puis utilisée par le SPSF pour se justifier, s’estompe ce qui permet de revenir à une réflexion logique.
Les faits.
Ces attaques armées, précédées par d’attentats islamistes désordonnés et niés par le SPSF, ont consisté
- d’une part en un véritable acte de guerre, de type commando, contre Charlie Hebdo avec assassinat de personnes clairement ciblées et une organisation de soutien pralable, et
- d’autre part en un attentat fortuit contre une jeune femme policier et un agent municipal puis le lendemain, par le même terroriste, par une prise d’otages, objectivement anti-sémite, à la Porte de Vincennes.
François Hollande, dont le SPSF en totalité à loué pour une fois la maîtrise et la compétence, a déclaré : « ceci n’a rien à voir avec l’islam. »
Je suis terrorisé non par le terrorisme, dont le risque est statistiquement très faible, mais par notre Président idéologiquement autiste. Pour ne pas dire pire ! Juppé aussi fait preuve d'intelligence : "les trois terroristes étaient français, donc vous voyez bien que l'immigration n'est pas en cause !"
Ces tueries ont pourtant été revendiquées par un imam d’Al Quaïda au Yémen. Elles ont déclenché des manifestations de joie populaire en Algérie et dans beaucoup d’autres pays en terre d’islam. Mais, plus préoccupant encore, elles ont aussi été défendues, soutenues voire justifiées, en France même, par de nombreux jeunes musulmans français, dans les écoles, dans la rue. Qu’est ce que cela doit être dans les mosquées ?

Voici quelques commentaires indépendants de toute idéologie, croyance religieuse ou appartenance ethnique.

Les troupes d’élites et d’assaut du GIGN et du RAID ont été admirables d’efficacité, d’organisation et de courage. Bravo du fond du cœur à ces hommes courageux et à leur encadrement intelligent.
Hollande et son gouvernement ont réussi :
- à transformer ces tueries, que leur politique et celle de leurs prédécesseurs concernant l’immigration-invasion ont rendues possibles, en une réunion de chefs d’état, devenus de véritables pleureuses contre le terrorisme. L’immigration-invasion de la France fait, depuis cinquante ans, le lit de ce terrorisme.
- à faire de Paris, pour un jour, la capitale mondiale de la larme à l’œil et de l’hypocrisie !
Dimanche, notre gouvernement a paradé dans la première manifestation de rue organisée par le pouvoir.
Une bonne partie du peuple de France s’y est naïvement associé en masse, croyant à un sursaut de la civilisation, dans un élan patriotique, sans trop connaître le motif exact de la manif (qui était volontairement resté obscur) : pour Charlie Hebdo, pour la République unie, pour la liberté de vivre suivant ses goûts et celle d’expression, contre le terrorisme... Le tout dans un pays qui vit sous le joug de multiples lois liberticides (Pleven, Gayssot, Rocard, Taubira…) depuis des années et qui voit Eric Zemmour, et bien d’autres journalistes avant lui, se faire éliminer du paysage audio-visuel pour contestation de la PLOUC (Pensée Légale, Obligatoire, Unique et Correcte). Le pouvoir a ainsi réussi à faire oublier la rétrogradation de la France en 6° position mondiale sur le plan économique (recul que Hollande niait il y a un mois !), ses manquements (un des terroristes devait être encore en prison et un autre a pu se rendre au Yémen alors qu'il était en liberté conditionnelle !), les failles graves dans la filière de renseignements que le gouvernement est censé superviser et surtout sa politique immigrationniste suicidaire.
Le peuple de France n’est pas loin de penser, dans sa très grande majorité mais en silence, ce que Philippe Tesson a laissé échapper dans une interviouv et qui peut lui coûter cher. France pays de liberté !
Le Front National annonce depuis cinquante ans ces difficultés et les graves problèmes liés à une immigration incontrôlée, mais il n’a jamais pu obtenir la moindre écoute du SPSF qui le diabolise depuis toujours et qui, dimanche, l’avait exclu de la solidarité nationale malgré ses succès électoraux. Malheureusement, en cette occasion, le FN n’a su montrer que maladresse et molle modération, en entonnant de loin le sempiternel « padamalgame ».
La communauté musulmane en France représente six, sept ou huit millions d’individus et peut être plus. Personne n’en sait rien puisque tout étude analytique de la population de France est interdite. Une bonne majorité d’entre eux est constituée de musulmans discrets (« un musulman modéré n’existe pas. On est musulman ou on ne l’est pas ». Boualem Sansal, écrivain et essayiste courageux vivant en Algérie), dont les convictions religieuses sont actuellement compatibles avec la civilisation occidentale et les lois de la République. Leur application des préceptes du Coran sont suffisament édulcorés pour cela. Néanmoins, on ne peut que s’inquiéter en constatant, dans ce groupe, les agissements d’une partie de la jeunesse qui font la preuve que cet islam évolue vers la radicalité : la discrétion et la « modération » de leur islam peut se transformer. Bon nombre de ces musulmans encore discrets pensent sûrement « in petto » que les dessinateurs de Charlie Hebdo ont bien mérité leur sort pour avoir blasphémé l’islam et son prophète. L’existence, dans les préceptes de l’islam, religion, qui est aussi un totalitarisme politique, de la « taqhia », qui permet de mentir sur ses intentions aux non-musulmans quant on n’est pas en position de force, n’améliore pas la confiance des Français non-musulmans dans les proclamations des multiples autorités islamiques jamais suivies d’effets pratiques. Si, comme ils le disent, on leur « vole leur dieu et ses enseignements », c’est quand même à eux de prendre les choses en main et de punir les « voleurs ». Mais les « voleurs » font peur, même à eux !
Effectivement, une minorité, très active, très prosélyte et en pleine croissance numérique sur notre territoire, de musulmans intégristes ou radicaux (Salafistes, Frères musulmans, Wahabites, missionnaires du Tabligh, convertis…) envisage très sérieusement d’imposer progressivement à la France des us et coutumes qui lui déplaisent, sans parler de la charia qui l’effraie. Cette évolution radicale est le fait de français de souche convertis, de musulmans nés en France (1° génération)et de nombreux étrangers soutenus financièrement par le Quatar (dont l’émir manifestait dimanche à Paris bras dessus-bras dessous avec Hollande !) et par l’Arabie Saoudite (où aucune autre religion que l’islam n’est tolérée et où un plaidoyer pour la laïcité vaut 1000 coups de fouet). Ce noyau radical exacerbe chez quelques milliers de jeunes désorientés, mal dans leur peau, parfois délinquants, incarcérés ou non, la haine de la France, de la civilisation occidentale, puis la tentation du djihad et du terrorisme pour la gloire d’Allah et de son prophète. Certains passent aux actes devenant ainsi des musulmans terroristes ou simplement violents aspirant à devenir ipso facto des « martyrs » au sens islamique du terme. Ils se considèrent comme les vrais musulmans et, dans tous les processus historiques brutaux, les extrémistes finissent toujours par anéantir les « modérés » comme l’ont suffisamment montré les révolutions française et russe.
Pour finir, je n’ai jamais acheté Charlie Hebdo parce que sa vulgarité et sa tendance anarchiste m’insupportaient. Que ceux qui ne me croient pas se procurent le n° 266 dont la première page stipule qu’il faut « chier sur les crèches, achever les handicapés, tirer sur les flics et abattre l’état major de l’armée ». Emportés par l’impunité acquise malgré leurs pulsions anti-catholiques, ils se sont laissés aller à provoquer l’islam, ce qui est bien plus dangereux. Siné avait été viré de cet hebdomadaire parce qu’il avait osé s’en prendre aux Juifs. La tuerie qu’ont subie ses caricaturistes pour venger le prophète m’est cependant encore plus insupportable, par le retour à la vengeance et à la barbarie qu’elle implique. C’est un véritable recul de la civilisation.
Je ne suis pas charlie et je n’achèterai jamais cet hebdomadaire, s’il survit à la menace de faillite qui le guettait avant le massacre et s’il garde la même ligne éditoriale. Pour le moment il continue à mettre de l'huile sur le feu et l'Afrique bouillone...
JE SUIS FRANÇAIS et je n’aime pas le terrorisme quel qu’il soit.
L’islamique étant actuellement le plus répandu dans le monde, je ne souhaite en aucune manière qu’il puisse sévir en France.
Maintenant tout le monde, gouvernement et opposition, propose des solutions pour prévenir les récidives.
Celle qui figure dans mon premier article sur les mesures à prendre ( Tous les étrangers sont les bienvenus en France, à condition que...) est la plus urgente et la seule qui puisse être logique, radicale et économique pour arrêter l'immigration incontrôlée. La médecine peut opposer des traitements curateurs (souvent agressifs mais nécessaires) aux malades pour les guérir ou des traitements symptomatiques pour  atténuer seulement leurs signes cliniques, sans éradiquer la maladie causale. La politique s’évertue à promouvoir des traitements symptomatiques et ignore les traitements curatifs. Dans l’immédiat cela peut passer mais à long terme cela mène sûrement à la catastrophe.
« Aux grands maux, les grands remèdes. » Shakespeare.